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le blog des BTS

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13 avril 2007

ex de duc

1 -DESCRIPTIF DE L’ UNITE COMMERCIALE

1-1      CONTEXTE GEOGRAPHIQUE

1.1.1 Historique du centre commercial Carrefour

The Phone House Bourges est implanté dans le Centre Commercial Carrefour

la Chaussée

de Chappe. De ce fait sa zone de chalandise est liée à ce centre dans ses caractéristiques quantitatives et qualitatives.

-          C’est un centre commercial de proximité composé de  8 boutiques réparties principalement  dans les secteurs  d’activité suivants : Equipement de la personne (maroquinerie, vêtements, bijouterie) et services (bars, restaurant, pressing, banque, salon de coiffure)

-          La  locomotive est l’hypermarché de avec des services connexes  à proximité composé d’un restaurant Mac Donald et d’une cafétéria Casino. Le parking dispose de 300 places, il y a également des emplacements réservés pour les motos et vélos.

-          Les horaires d’ouverture sont de 8H30 à 21H30 sans interruption pour capter la clientèle de centre ville qui travaille. Au cours des années, Carrefour est resté "le" grand Hyper de Bourges, et s'est agrandi. Si l'extérieur n'a pas bénéficié d'une réhabilitation à caractère esthétique, l'intérieur s'est renouvelé à plusieurs reprises.40 ans plus tard, le groupe Carrefour qui possède aussi à Bourges les "Champions" (les anciens magasins Major d’ UNIDIS), et depuis 2004 3 magasins ED.

          1.1.2

La Zone

de chalandise du CCR

La zone de chalandise est déterminée par des courbes isochroniques :

La

zone de chalandise est décomposée en zone isométrique, soit en fonction des kilomètres. On trouve 3 zones

-Primaire : Ville de Bourges (environ 80000 habitants) De 0 à

7 km

.

-Secondaire : Dans un rayon de 7 à

12 km

aux alentours de Bourges

-Tertiaire : Au-delà des

12 km

avoisinant la ville de Bourges

Dans cette zone de chalandise, il y a  x habitants. Les concurrents dans la zone sont Espace SFR, Tel and Com et le rayon téléphonie de Carrefour. On détermine 3 zones isochrones pour définir le temps d’accès en voiture.

Zone

Nombre d’habitants

CSP principales

1.  en 5 minutes

47530

Ouvriers, cadres

2   en 15 minutes

21206

Employés qualifiés

3   plus de 15 minutes

15603

Ouvriers

             1.1.3 Moyens d’accès au point de vente

La galerie commerciale dispose d’un parking de places

Elle se situe à 5 minutes du centre ville en voiture et à 20 mn à pied.  La zone est desservie par une ligne de bus la ligne 4 en direction de ST GERMAIN DU PUY/ CENTRE VILLE NATION. Le centre commercial dispose des emplacements pour l’installation des véhicules à moteur ce qui favorise leur venue.

1-2      CONTEXTE ORGANISATIONNEL

1.2.1. Horaires d’ouverture

Les horaires d’ouverture sont adaptés à la clientèle urbaine et active du centre commercial c'est-à-dire du lundi au samedi de 09h - 20h. L’amplitude horaire et la taille réduite de l’équipe commerciale ainsi que les conditions de location justifient cet aménagement. Le centre n’étant pas ouvert le dimanche sauf jours fériés.

            1.2.2. Le réseau auquel l’unité commerciale appartient

The Phone House France est une filiale du groupe Carephone Warehouse qui emploie plus de 2300 collaborateurs dans toute la France. (Organigramme en annexe)

a)    La répartition des magasins par divisions

En ce qui concerne TPH France, le réseau est structuré  de la manière suivante. : il y a 230 magasins répartis dans des divisions géographiques ( au nombre de 4)   qui sont :

         La division PARIS avec 67 magasins (Responsable de division Laurent MELKI)

         La division EST avec 46 magasins (Christophe ALBERT)

         La division SUD avec 45 magasins (Thomas BRUN)

La division OUEST avec 53 magasins dont celui de Bourges (Pierre BACCARA)

A l’intérieur des divisions, il y a également un découpage par région (20 au total pour le réseau national). Le magasin de Bourges fait partie de la région centre ouest (R.C.O.). Une région c’est 4 à 5 magasins, encadrés par un directeur régional des ventes Alexis DRU SAUER. Il a pour but de vérifier la réalisation des objectifs au niveau local

TPH c’est aussi 5 centres de relations clients et une structure dédiée aux professionnels et depuis quelques temps des franchises.

                            b)  L’organigramme de l’unité commerciale locale

LAMOTTE Francis

RESPONSABLE DE MAGASIN MANAGEUR

CONSEILLER COMMERCIAL ADJOINT

BOUDINA MYRIAM

VENDEURS CONFIRMES

LELOUP Anne Laure

BASTOUL Emilie

HENOT Julianne

VENDEURS DEBUTANTS

SENG Alain

BEAUDOIN Alexandre

b)    Répartition des tâches par fonction

Manageur : Il s’occupe du back office, anime l’équipe, s’assure de la gestion du stock et établit les rapports de ventes  à destination du directeur régional des ventes.

Vendeur confirmé (Myriam BOUDINA) : Elle gère le front office, 1ère vendeuse elle a également pour rôle de motiver l’équipe en cas d’absence du manager. Responsable de la gestion du linéaire.

Vendeurs : Conseiller, accueillir et orienter les clients, développer les ventes fidéliser les clients, gestion du service après vente. Mise en rayon.

          1.2.3 L’équipe commerciale

A) PRISE DE DECISION

Toutes les décisions sont centralisées en ce qui concerne  le retailing mix (politique des 4 P du point de vente) ainsi que les ressources humaines.  Le directeur de divisions encadre les directeurs régionaux, il leur fixe des objectifs de vente, anime le réseau et diagnostique la division. Dans cette structure pyramidale, le directeur régional des ventes analyse les tableaux de bord des boutiques pour établir les objectifs hebdomadaires et mensuels. Les contacts ayant lieu par mail et par visite d’entreprise.

B) EVALUATION

- Il y a un entretien trimestriel d’évaluation des managers. Cela se passe lors de réunions collectives évaluant les résultats du magasin. Les objectifs de chaque UC sont ensuite fixés lors de réunions individuelles entre le DRV et le manageur.
-  En ce qui concerne la boutique, les objectifs sont fixés au quotidien sur un panneau d’affichage. Il y a un entretien collectif mensuel en début de mois pour fixer les objectifs et faire le point sur le mois passé. Il y a des entretiens individuels ponctuels une fois par mois associé à des quiz sur intranet permettant de valider les progrès en savoirs et savoirs faire. 

Il y a une évaluation de fin d’année avec un parcours annuel de progression permettant de progresser  dans la fonction.

C) L’ANIMATION :

- Le recrutement : Le manageur local a la liberté d’une première sélection dans le recrutement du personnel mais doit le faire valider par le directeur régional

- Les challenges : Ils sont organisés sur des résultats globaux (nombre d’acte, assurance) par le réseau avec des récompenses sous formes de cadeaux  et voyages (de manière collective).

Les marques organisent des concours ponctuels sur certains produits avec cadeaux à gagner.

- La rémunération est composée d’un fixe avec des commissions à taux différenciés selon les ventes et des primes sur objectif accordées tous les mois

1-3      CONTEXTE COMMERCIAL

1.3.1. Les chiffres de l’unité commerciale

De juin 2005 à juin 2006.

Produits

Taille de la gamme

Fourchette de prix

Chiffre d’affaires

PDM

Accessoires

4 familles

- Housses

- Kits Bluetooth

- Cartes mémoires

- Access voitures

9 à 19 €

39 à 89 €

29 à 99 €

10 à 500 €

7174 euros

7%

Services filiaires

- Internet, ADSL

- Ligne fixe

20 à 50 

26000 euros

10%

Forfaits, Prépayé opérateurs

Différents opérateurs

Abo : de 15 à 200 €.

57600 euros

70%

Services assurances

De 59 à 799 €

21400 euros

13%

The Phone House est la seule enseigne offrant à ses clients une offre complète, multi opérateurs et multi constructeurs, incluant également l’ensemble des services associés au mobile (SAV, Assurance) et une offre de téléphonie fixe et d’ADSL.  Depuis peu TPH est devenu MVNO après le rachat d’OMER TELECOM pour bénéficier du réseau Orange.

1.3.2. Méthodes de vente du groupe

Le groupe adopte une stratégie multi canal :

-          Il y a la vente en magasin propre, en franchise, par Internet, par téléphone.

-          En boutique, la méthode de vente est le libre service assisté. Dans celle-ci le rayon est un vendeur muet mais le client peut demander l’assistance d’un conseiller de vente.

-          Cependant pour les téléphones mobiles et les forfaits des opérateurs la méthode est la vente est traditionnelle, il s’agit d’accueillir le client de poser des question pour connaître son ou ses besoins et conclure la vente.

Le marchandisage

-          d’organisation : les produits sont disposés tout autour du magasin sur des panneaux. En zone chaude, on trouve les accessoires (classés par catégorie et par marque) car ils représentent une marge élevée. Puis au fond les téléphones par marque.  Des Ilots pour des activités promotionnels sont placés.

-          De séduction : une présentation factice des produits en situation de vente ainsi que des PLV et des ILV favorisent l’achat d’impulsion.

Pour toutes ces implantations des plans merchandising sont envoyées par le siège ainsi que les consignes d’étiquetage et de promotion (vérifiés par des clients mystère).

- le siège centralise le réassort des commandes par l’utilisation d’un logiciel de gestion stocks Pie.

1.3.3. Analyse concurrentielle

Concurrents

Produit

Prix

Commercialisation

Communication

Espace SFR

Forfait, abonnement,

accessoires

Franchise indépendante

Pub partenariat

Carrefour  (service téléphonie)

Gamme plus courte

alignement

Hypermarché

Prospectus

Orange France Télécom

Forfait, abonnement,

accessoires

Gsm magasins spécialisés franchise

Pub sponsor prospectus

Tèl & Com

Forfait, abonnement,

accessoires

Bas prix

magasins spécialisés franchise

Prospectus

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10 avril 2007

modes opératories access

d'après 'lenvoi d'un élève de CGO, cours sur les modes opératories

TECHNIQUES ET MODES OPERATOIRES

ACCESS 2000, XP

ACCESS est un logiciel de la catégorie « système de gestion de base de données relationnelles » qui offre de nombreuses interfaces graphiques pour la construction des tables, des requêtes et des formulaires d’écran ou des états imprimés.

Ce document propose quelques indications opératoires, non exhaustives, concernant ACCESS sous différentes versions. Il est destiné à guider les étudiants lors de travaux en autonomie mais  ne peut prétendre se substituer au cours dispensé par l’enseignant.

SOMMAIRE

Ce sommaire renvoie aux chapitres par lien hypertexte.

Le caractère Ý placé à droite de chaque titre de chapitre renvoie au sommaire par lien hypertexte.

1.        ACCESS ET LA CREATION DE TABLES Ý... 4

1.1.      Le lancement et l'abandon d'ACCESS.. 4

1.2.      La création et la modification d’une table. 5

1.3.      L'indexation ACCESS.. 6

1.4.      Les relations entre tables. 7

1.5.      Modification de relations existantes. 8

1.6.      La saisie et l’exploitation des données d’une table. 9

1.7.      Méthode générale pour réaliser une base ACCESS.. 9

2.        LES REQUETES GRAPHIQUES ACCESS Ý... 10

2.1.      Les requêtes sélection. 10

2.2.      Les types de jointures ACCESS.. 11

2.3.      Les calculs dans les requêtes. 12

2.4.      Le paramétrage des requêtes. 12

2.5.      Les requêtes action. 13

2.6.      L’enchaînement des requêtes. 14

3.        LES FORMULAIRES ACCESS Ý... 15

3.1.      Le formulaire ACCESS.. 15

3.2.      La création et la modification d’un formulaire. 15

3.3.      La gestion des contrôles du formulaire. 16

3.4.      Les types de contrôles courants. 16

3.5.      L’utilisation des zones de liste pour pointer des enregistrements. 17

3.6.      Le rôle des formulaires. 18

3.7.      Les sous-formulaires. 19

3.8.      L’exécution des formulaires. 19

4.        LES IMPRESSIONS ET LES GRAPHIQUES ACCESS Ý... 20

4.1.      Les documents imprimés par ACCESS.. 20

4.2.      L’impression d’étiquettes. 20

4.3.      La réalisation d’un état 20

4.4.      L’insertion de graphique dans un formulaire ou un état 21

5.        LES IMPORTATIONS - EXPORTATIONS ACCESS / OFFICE Ý... 22

5.1.      L’exportation de données vers EXCEL.. 22

5.2.      L’importation de données EXCEL.. 22

5.3.      L’exportation d’une liste de publipostage vers WORD.. 22

6.        COMPLEMENTS ACCESS Ý... 23

6.1.      Les macro-instructions. 23

6.2.      L’usage d’un formulaire comme base d’une requête. 24

6.3.      L’automatisation des importations - exportations. 25

7.        LES SECURITES ACCESS Ý... 26

7.1.      Le partage d’applications ACCESS.. 26

7.2.      Le principe général de la sécurité au niveau utilisateur. 26

7.3.      La gestion des comptes de groupes et d’utilisateurs. 26

7.4.      Les types d’autorisations et leur attribution. 27

7.5.      Les groupes de travail 28

7.6.      La protection des champs et contrôles. 29

7.7.      Le contrôle des accès simultanés. 29


1. ACCESS ET LA CREATION DE TABLES Ý

1.1. Le lancement et l'abandon d'ACCESS 

Ÿ Le lancement d’ACCESS se fait par le menu Démarrer – Programmes de WINDOWS.

Il faut ensuite suivre les indications du logiciel pour ouvrir une base existante ou créer une nouvelle base.

Ce choix (ouvrir une base ou en créer une nouvelle) peut également se faire par le menu Fichier (options « Ouvrir » ou « Nouveau »).

Ÿ Le plan de travail ACCESS s'affiche à l’ouverture ou à la création d’une base :

Ÿ Pour quitter ACCESS, revenir au plan de travail et utiliser le menu Fichier - Quitter ou « double cliquer » sur la clé ACCESS, dans le coin supérieur gauche de l'écran.


1.2. La création et la modification d’une table

Une base de donnée ACCESS comporte une ou plusieurs tables relationnelles, dans lesquelles des données sont mémorisées.

Ÿ Pour créer une table :

-         cliquer sur l'objet tables puis sur « Nouveau » (mode création) :une grille de définition de table s'affiche ;

-         définir chaque champ de la table dans cette grille (nom, type, puis onglet « Général » en bas d’écran) ;

-         indiquer à ACCESS le ou les champs constituant la clé primaire (sans doublon) de la table en sélectionnant la (les) ligne(s) de champ constituant la clé. Cliquer ensuite sur le symbole     du bandeau de haut d’écran ;

-         fermer la grille de définition, nommer la table et l’enregistrer.

Exemple de définition des tables de facturation :

Ÿ Les types de champs les plus courants sont les types:

-         texte, soit une suite de caractères quelconques (au plus 255) ;

-         mémo, soit un texte de longueur supérieure à 255 caractères (généralement utile pour la saisie de commentaires libres ou de pages d’information) ;

-         numérique, soit une valeur utilisée dans des calculs (format entier < 32768, entier long, réel, …) ;

-         date / heure, soit un repère temporel (date et heure complètes ou abrégées) ;

-         oui / non, soit l’expression d’une alternative ;

-         « numéroauto », soit l’attribution automatique d’un numéro séquentiel, du type entier long.

Remarque : seules les données intervenant dans des calculs doivent être d’un type numérique. Un code postal ou un numéro de téléphone sont des données du type texte.

Ÿ Le type « Assistant liste de choix » permet, lorsque l’on saisit une donnée dans le champ, de choisir la valeur du champ dans une liste présentant des valeurs provenant d’une autre table.

La construction de cette liste de choix se fait aisément en suivant les instructions de l’assistant (choix de la table d’où proviennent les valeurs, des champs, …).

Ÿ Les propriétés optionnelles « Valide si » et « Null interdit » peuvent être attribuées au champ (onglet « Général » situé en bas du cadre de définition de table). Elles permettent de définir une contrainte de domaine (les valeurs acceptables pour le champ) ou d’imposer une saisie dans le champ.

La propriété « Masque de saisie » permet de définir une contrainte quant à la forme des données saisies dans le champ (99999 indique par exemple que le champ code postal de type texte est, en fait, composé obligatoirement de 5 chiffres).

Ÿ Une description de table peut ultérieurement être modifiée en sélectionnant au préalable la table dans la liste affichée par ACCESS, puis en optant pour « Modifier ».

En particulier, un champ sélectionné peut être supprimé par la touche "Suppr" (ou « Del »), déplacé par « clic maintenu ». Une nouvelle ligne de champ peut être intercalée par « Ins » (insertion).

Une table au préalable sélectionnée peut être renommée par le choix  Edition -  Renommer  , recopiée par  Edition - Copier -  Coller » ou supprimée par la touche « Suppr ».

1.3. L'indexation ACCESS

Ÿ Un index est sensé accélérer les accès aux données à partir de la valeur d’un champ.

ACCESS autorise la création de 32 index par table mais, en pratique, la multiplication des index alourdit les traitements : un équilibre est à trouver entre les avantages et les inconvénients de l'indexation.

Un index ACCESS est identifié par un nom (éventuellement un nom par défaut attribué automatiquement) et peut regrouper de 1 à 10 champs d'une table. Il est obligatoirement défini à partir de champs de type texte, numérique, monétaire ou date/heure.

Ÿ Deux catégories d'index peuvent être définis sur une table ACCESS :

-         un index primaire, unique, sans doublon (propriétés « Oui-sans doublon » ;

-         un ou plusieurs index secondaires, avec ou sans doublon.

Un index primaire est automatiquement créé sur la clé primaire de la table ACCESS.

Ÿ Lors de la construction d'une table, un index peut être créé sur un champ simple en utilisant la rubrique « Indexé » des propriétés « Générales » du champ.

Des index sur champs simples ou multiples peuvent plus généralement être créés depuis la fenêtre de définition d’une table par le menu Affichage - Index :

-         le nom donné à l'index est saisi dans la colonne de gauche ;

-         la colonne « Nom du champ » permet de sélectionner le (ou les) champ(s) constituant l'index en les choisissant dans la liste affichée par (tous les champs suivant un nom d'index, jusqu'au nom d'index suivant, constituent cet index) ;

-         un clic sur une des « Propriétés de l'index » permet d'accéder à des options précises de définition ;

-         la fermeture de la fenêtre « Index » valide la définition effectuée et le retour au plan de travail permet de l'enregistrer.

Le choix Affichage - Index  donne accès à la définition complète des index de la table en cours. L'effacement d'une ligne dans la liste des index permet de supprimer un index déjà créé.

Remarques :

-         ACCESS crée automatiquement un index quand un champ porte un nom évoquant un identifiant (numéro_xxx, code_xxx …). Il faut donc, le cas échéant, adapter ou supprimer cet index ;

-         Pour faciliter la mise à jour des tables à clés composées de plusieurs champs, il est fortement recommandé de leur attribuer un numéro automatique comme clé primaire. Les champs constituant la clé « naturelle » de la table pourront constituer un ou plusieurs index secondaires avec ou sans doublons, selon le cas.

1.4. Les relations entre tables

Ÿ Les liens (pointages) existant entre tables sont appelés « relations » sous ACCESS.

Ces relations entre tables peuvent être représentées graphiquement et sont définies grâce aux opérations qui suivent :

-     depuis le plan de travail, cliquer sur l’icône         ou choisir les options de menus « Outils » puis « Relations » ;

-         une fenêtre « Relations » apparaît. Utiliser le cadre « Ajouter une table » pour ajouter les tables nécessaires à la définition des relations. Si ce cadre est absent, il peut être affiché par les options « Relations » et « Afficher la table… » ;

-         lier les champs en relation dans chaque table par un « clic maintenu» en partant du champ qui est clé primaire ou index unique, en allant vers la duplication de ce champ. La table de départ (table source) est la « Table/requête » et la table d'arrivée la « Table/requête liée » selon la terminologie ACCESS (dans l'exemple, partir du « code client » dans « CLIENT» et aller vers le « code client » dans « FACTURE ») ;

-         une fenêtre de dialogue « Relations » s'affiche, qui permet de préciser les contraintes à appliquer. Cliquer sur « Appliquer l'intégrité référentielle » et « Créer ». ACCESS indique par le côté « lié » (plusieurs factures peuvent être liées à un client) et par 1 le côté « source » (l'origine unique du code client) de la contrainte d’intégrité référentielle.

Remarque : une contrainte d’intégrité référentielle est une règle qui impose que toute valeur saisie dans le champ lié soit présente dans le champ source. ACCESS fait automatiquement cette vérification lors de la saisie de données, dès lors que la contrainte d’intégrité référentielle est définie.

Ÿ D'autres options concernent les relations:

-         « Mettre à jour en cascade » permet qu'une modification de valeur de la clé primaire de la table source soit automatiquement répercutée dans les lignes des tables liées » ;

-         « Effacer en cascade » provoque l'effacement automatique des enregistrements liés quand on supprime la source.

Ÿ A la fermeture de la fenêtre « relations », celles ci sont enregistrées.

Remarques :

-         dans l’écran « Relations », les champs qui constituent ou participent à une clé primaire ressortent en caractères gras ;

-         la notation ACCESS sur les liens est INVERSE des cardinalités du SCD

(1 --> et N ---> 1) ;

-         une relation ne peut être établie entre un champ ACCESS de type "NuméroAuto" et un champ numérique correspondant dans une autre table que si ce dernier est défini comme un "Entier long". De manière générale, les champs en relation doivent avoir des définitions compatibles.

Exemple :

1.5. Modification de relations existantes

Pour accéder aux « Relations » ACCESS déjà enregistrées, procéder comme pour leur création.

L'affichage de toutes les relations fait apparaître à l'écran une image graphique complète de la structure des tables relationnelles.

Une relation  particulière peut être sélectionnée par « simple clic » sur le trait qui la représente, puis  supprimée par la touche « Suppr ». Un « double clic » sur ce trait permet d’accéder au cadre de définition de la relation et de la modifier.


1.6. La saisie et l’exploitation des données d’une table

Ÿ Une table peut être ouverte en « Feuille de données » afin d’en travailler le contenu : ajout de lignes, modifications ou suppressions. Une ou plusieurs lignes peuvent être sélectionnées par « simple clic » ou « clic maintenu » sur la colonne de gauche de la feuille de données.

Ÿ Dans une table ouverte (et contenant des données), il est possible de passer d'un enregistrement à l'autre à l'aide d'outils standards simples :

- par balayage séquentiel, en cliquant sur pour aller au premier enregistrement, sur pour aller au dernier enregistrement, sur ou sur pour sauter à l'enregistrement précédent ou au suivant ;

- par recherche sélective, en cliquant sur le champ servant à la sélection puis sur l'icône . Suivre alors les indications de la fenêtre « Rechercher dans le champ : ... », saisir la valeur recherchée puis choisir                        et fermer la fenêtre de

recherche. ACCESS se positionne sur l'enregistrement correspondant s'il existe.

1.7. Méthode générale pour réaliser une base ACCESS

Pour réaliser une base il faut effectuer les tâches suivantes, dans l’ordre :

1) établir le schéma conceptuel des données ;

2) établir le schéma relationnel ;

3) créer les tables ACCESS (en précisant correctement la description de chaque champ et en choisissant une clé primaire) ;

4) créer les relations entre les tables ainsi que les contraintes d’intégrité référentielles ;

5) créer un jeu d’essai (données destinées à tester la base) ou collecter les données réelles ;

6) saisir les données en respectant l’ordre imposé par les contraintes (une valeur doit être saisie dans le champ « source » avant de l’être dans le champ « lié »).

Remarque : il est essentiel de ne pas saisir de données (6°) dans les tables avant d’avoir défini toutes les contraintes s’appliquant aux données, notamment les contraintes d’intégrité référentielles. Ceci évitera des incohérences qui peuvent ensuite nécessiter l’effacement de certaine relations, certaines données voire certaines tables pour être corrigées.


2. LES REQUETES GRAPHIQUES ACCESS Ý

2.1. Les requêtes sélection

L’interface graphique ACCESS (« QBE » - Query By Example -) distingue les requêtes sélection, mise à jour, ajout, suppression de lignes et création de table.

Ÿ Pour réaliser une requête sélection sur une seule table :

-    choisir                  puis « Nouveau » ;

-         dans la fenêtre « Nouvelle requête » choisir « Mode création » , les cadres « Requête Sélection » et « Ajouter une table » sont ouverts (à défaut, il est possible d'afficher le cadre « Ajouter une table » par le menu Requête- Ajouter une table) ;

-         sélectionner la table utile puis « Ajouter » et fermer le cadre « Ajouter une table » ;

-         un « clic maintenu» permet d'amener un à un les champs vers la grille en bas d’écran, qui représente les champs utiles à la requête ;

-         des précisions seront fournies pour chaque champ utile : sur la ligne « Afficher » (le champ ne figurera pas dans le résultat de la requête si cette ligne n’est pas cochée), sur la ligne « Critères » (où le critère de sélection est saisi) ;

-         fermer le cadre « Nouvelle requête » et suivre les indications pour la nommer et l’enregistrer.

Remarques:

-         les valeurs des critères peuvent être alphanumériques ou numériques et être assorties de divers opérateurs de comparaison (exemple : = ‘Dubois’, =’01/02/02’, >789, <=700) ou combinées (exemple : >100 ET <150) ;

-         en création ou modification de requête, le choix « Affichage » puis « Mode SQL » permet de visualiser l'ordre SQL correspondant (ce SQL peut être modifié). Les choix  Affichage - Création ramènent au cadre de requête ;

-         la largeur d’une colonne du tableau du cadre « Requête » peut être modifiée par un « clic maintenu » sur le trait séparateur des colonnes, tout en haut de celle-ci ;

-         

pour s’aider dans la construction d’un critère de sélection, il est possible d’utiliser le « générateur d’expression » ACCESS, en cliquant sur l’icône                     en haut de l’écran.

Ÿ Pour réaliser une sélection multitable (jointure) :

-         ajouter les tables nécessaires. ACCESS détecte  automatiquement un lien de jointure entre les rubriques déjà mises en relation, ou entre les champs de même nom et de même définition ;

-         faire glisser les rubriques nécessaires vers le tableau de bas d’écran, entrer le critère de sélection ;

-         fermer la fenêtre, nommer, enregistrer la requête.

Remarques:

-         il est possible de joindre deux tables par deux rubriques de même définition, mais qui n'ont pas le même nom ou ne sont pas en relation, par un "clic maintenu" d'une rubrique à l'autre dans le cadre de requête ;

-         à l'inverse, il est possible de supprimer un lien en le sélectionnant par simple-clic (il apparaît alors en gras) puis en appuyant la touche "Suppr" ;

-         on peut inclure dans le résultat de la requête des champs provenant de tables non-jointes (c'est le cas des paramètres) ;

Ÿ pour exécuter la requête, la sélectionner puis choisir « Ouvrir ». Elle peut par ailleurs être modifiée, supprimée, renommée, ... de façon similaire aux tables.

2.2. Les types de jointures ACCESS

Un double-clic sur le trait de relation affiché dans le cadre de requête donne accès à la définition des « Propriétés de la jointure » :

-         l’option « 1 » est implicite (il s’agit d’une équijointure interne, qui inclut dans le résultat uniquement les lignes des tables pour lesquelles il y a égalité du champ de jointure) ;

-         les options « 2 » et « 3 » correspondent à des jointures externes, incluant tous les enregistrements de l’une des tables.


2.3. Les calculs dans les requêtes

ACCESS offre la possibilité d'intégrer des calculs simples et d’effectuer des agrégats dans une requête :

-         définir le champ de regroupement à l’aide de la ligne opérations (obtenue par le menu Affichage - Opérations ou Affichage – Totaux selon la version du logiciel)

-         choisir l’opération souhaitée.

                

2.4. Le paramétrage des requêtes

Le paramétrage d'une requête sélection permet de faciliter sa réutilisation : la valeur du critère de sélection est alors saisie, dans un cadre proposé par ACCESS, à chaque exécution de la requête.

Pour paramétrer une requête, il faut saisir (entre crochets) un libellé libre dans la zone de critère du champ considéré (par exemple = [Entrez le code article] ).

Ce libellé sera affiché par ACCESS lors de l’exécution de la requête, pour indiquer quelle valeur doit être saisie.

Le paramétrage peut s’appliquer à des conditions combinées

(par exemple >[PU mini] ET <[PU maxi] ).

    

2.5. Les requêtes action

Ÿ Les requêtes action d’ACCESS permettent des manipulations ayant comme finalité la modification du contenu des tables :

-         la création d’une nouvelle table à partir d’enregistrements et de champs extraits d’une ou plusieurs autres tables (requête création) ;

-         la suppression de plusieurs enregistrements d’une table en fonction de critères déterminés (requête suppression) ;

-         l’ajout à une table d’une série d’enregistrements provenant d’une ou plusieurs autres tables (requête ajout) ;

-         la mise à jour des valeurs d’un ou plusieurs champs dans une table (requête mise à jour).

Ÿ Pour accéder à la définition des requêtes action, il faut entrer en création de requête, sélectionner la table (les tables si l’on souhaite faire un ajout ou une création à partir d’une jointure) constituant la source des données, puis choisir le type de requête souhaité dans le menu « Requête » :

                                  

Suivre ensuite les indications (choix de la table de destination, …).

Remarque : en ajout ou création, le champ de la table cible est automatiquement généré sur la ligne « Ajouter à » si son nom est identique à celui du champ dans les autres tables. Sinon, il faut choisir le champ de destination dans la liste ouverte en cliquant sur la cellule « Ajouter à » appropriée.

2.6. L’enchaînement des requêtes

Une requête peut être basée sur une autre requête, ou sur des requêtes et des tables.

Pour réaliser un tel enchaînement il faut, lors de la création de la requête, choisir selon le cas la source de la requête dans l’onglet « Requête » ou « Les deux », au lieu de l’onglet « Ajouter une table ».

Dès lors, les requêtes s’enchaînent, le résultat de l’une servant d’entrée à la suivante.

L’ouverture de la dernière requête de la chaîne provoquera l’enchaînement de toutes les requêtes depuis la première.


3. LES FORMULAIRES ACCESS Ý

3.1. Le formulaire ACCESS

Ÿ Le terme formulaire (du nom des documents que l’on remplit lors de diverses formalités) désigne, sous ACCESS, un façon de présenter des données sur un écran.

Le formulaire diffère de la présentation en feuille de données, car seules les informations nécessaires sont présentées selon une organisation adaptée au problème à traiter. La construction de formulaires permet de bâtir des applications plus ergonomiques et plus sûres qu’avec le mode « feuille de données ».

Ÿ On appelle « contrôles » les rubriques qui figurent dans un formulaire :

-         un contrôle lié (ou dépendant) est lié au champ d’une table. La valeur saisie dans ce contrôle est automatiquement enregistrée dans la ligne en cours de la table utilisée ;

-         un contrôle indépendant ne correspond à aucun champ de table.

La valeur prise par un contrôle peut être utilisée ailleurs dans le formulaire ou dans un autre traitement.

3.2. La création et la modification d’un formulaire

Ÿ Un assistant permet de produire très facilement des formulaires standardisés, qui  peuvent être modifiés pour mieux correspondre aux besoins d’une application.

Pour créer un formulaire avec l’assistant :

-         choisir l’objet « Formulaires » du plan de travail ACCESS, puis « Nouveau » et « assistant formulaire» ;

-         choisir la table ou la requête sur laquelle sera basé le contenu du formulaire (à l’aide de la liste affichable), puis déterminer son contenu (les champs souhaités) et sa présentation ;

-         afficher et tester le formulaire, ou passer en modification si le modèle généré automatiquement doit être adapté.

Un formulaire terminé est nommé et enregistré. Il peut ensuite être exécuté ou modifié (sélection, choix « Ouvrir » ou « Modifier »), ou encore recopié (Edition - Copier - Coller).

Ÿ En modification de formulaire, comme en mode création sans assistant, un cadre de formulaire apparaît.

Le fond du formulaire peut être redimensionné par « clic maintenu » sur ses contours. Des contrôles peuvent y être ajoutés ou supprimés.

Ÿ Chaque élément du formulaire (ensemble du formulaire, contrôle, section, fond) dispose de propriétés qui peuvent être affichées puis modifiées, après sélection de l’élément concerné par « simple - clic », grâce au menu Affichage - Propriétés.


Remarques :

- pour voir les propriétés générales du formulaire, il faut au préalable le sélectionner en cliquant sur l’angle supérieur gauche             du cadre formulaire ;

- pour que les différentes aides des assistants soient disponibles, l’icône

de la boite à outils doit être en surbrillance (à défaut, un « simple clic » sur ce symbole permet de passer sous assistance).

Ÿ Un formulaire peut comporter plusieurs sections (entête, détail, pied de page notamment).

3.3. La gestion des contrôles du formulaire

Ÿ Pour ajouter un contrôle dans un formulaire, la boite à outils et / ou la liste des champs de la table ou de la requête sur laquelle est basé le formulaire doivent être affichées (à défaut, utiliser les menus Affichage – Boite à outils et Affichage – Liste des champs) :

- tirer un champ depuis la liste vers le formulaire pour l’y ajouter (« clic maintenu ») ;

- sélectionner une option dans la boite à outil (« simple clic ») puis placer cette option dans le formulaire (« simple clic ») pour l’y insérer.

Ÿ ACCESS attribue un nom unique à chaque contrôle, qui est visible dans les propriétés du contrôle (onglet « Autres »).

Remarque : le nom d’un contrôle est modifiable. Toutefois, le nom de contrôle est parfois utilisé dans des procédures de traitement VBA générées par ACCESS (voir l’onglet Evénements), il est donc préférable de ne pas le changer.

Ÿ Chaque contrôle peut être déplacé ou redimensionné par « clic maintenu », et supprimé après sa sélection en utilisant la touche « Suppr ».

Plusieurs contrôles (une zone) du formulaire peuvent être sélectionnés simultanément en utilisant le de la boîte à outils, et être traités globalement (déplacement, suppression, changement de  propriétés, …).

L’ordre dans lequel les contrôles sont activés lors de l’exécution du formulaire (par exemple pour y saisir des valeurs) peut être modifié par le menu Affichage - Ordre de tabulation.

3.4. Les types de contrôles courants

·          Intitulé (texte simple) : libellé à saisir après avoir introduit le contrôle dans le formulaire depuis la boite à outils ( )

·          Zone de texte dépendante : il s’agit d’un champ de table. Ce contrôle est obtenu à partir de la liste des champs de la table ou de la requête associée au formulaire, ou bien il est généré automatiquement par l’assistant. Une  étiquette lui est associée (en standard le nom du champ). L’étiquette peut être sélectionnée, modifiée ou supprimée par les manipulations usuelles Microsoft.

·          Zone de texte indépendante : équivalente à la zone dépendante, mais sans liaison avec une table. La zone indépendante est utile pour faire un calcul ou assurer une  mémorisation intermédiaire. Elle est obtenue à partir de la boite à outils (     ).

·          Zone calculée : zone de texte indépendante dans laquelle on saisit une formule de calcul commençant par le signe  =. La formule peut faire référence aux noms des autres contrôles du formulaire, contenir des constantes et appeler des fonctions standard. Un générateur d’expression est accessible par la manœuvre suivante :

-         sélectionner le contrôle calculé, puis afficher ses propriétés ;

-         dans l’onglet « Données », rubrique « Source contrôle », cliquer sur et suivre les indications.

·          Zone de liste : ce contrôle propose, lors de l’exécution du formulaire, une liste de valeurs prises dans une table ou une requête. Une nouvelle valeur peut être saisie s’il s’agit d’une liste modifiable, seules les valeurs préexistantes sont autorisées s’il s’agit d’une liste simple. 

Un assistant à la création d’une liste est automatiquement lancé si l’icône de la boîte à outils est sélectionnée (en surbrillance) avant la création du contrôle par les outils (liste modifiable) ou (liste simple).

Le contrôle de type liste est particulièrement utile car il évite des saisies et permet de garantir l’intégrité référentielle.

Remarques :

-         une liste est automatiquement générée quand on insère une zone de texte dépendante correspondant à un champ de type liste de choix ;

-         une liste peut comporter plusieurs rubriques d’une même table ou requête, l’une d’entre elles peut être cachée (généralement la clé de la table).

·          Bouton de contrôle : permet de déclencher un traitement (suppression d’enregistrement, fermeture du formulaire, ouverture d’un autre formulaire, exécution d’une requête, etc …). Par défaut, le traitement concerne l’enregistrement ou le formulaire en cours.

Le bouton est inséré par l’outil , en suivant les indications détaillées fournies par l’assistant ACCESS.

L’utilisation de boutons de contrôle déclenchant des formulaires permet d’enchaîner les écrans et de construire très facilement un menu général, où des boutons assurent le lancement des différents formulaires, des requêtes ou des états.

3.5. L’utilisation des zones de liste pour pointer des enregistrements

Ÿ Une liste permet de choisir la valeur à inscrire dans un champ.

Une zone de liste peut être utilisée pour pointer une ligne dans une table à l’aide de la valeur d’un de ses champs (notamment de sa clé). Pour ceci il faut:

-         créer un formulaire associé à la table concernée ;

-         ajouter au formulaire une liste modifiable basée sur le champ de recherche en optant pour

;

-         insérer les autres champs dans le formulaire.

Le formulaire obtenu se positionnera automatiquement sur l’enregistrement correspondant à la valeur choisie dans la liste, pour lecture ou modification.

Remarques :

-         cette dernière technique n’est pas utilisable pour des recherches sur plusieurs champs simultanément, il faut alors recourir à d’autres procédés comme les requêtes ou les sous –formulaires ;

-         cette option génère un contrôle indépendant, qui ne peut être utilisé pour créer ou modifier une table (notamment en cas de création). Pour effectuer cette opération, il faut intégrer au formulaire, en plus de la zone de liste qui sert à la sélection, un contrôle dépendant portant sur le champ concerné. Ce contrôle permettra de saisir la nouvelle valeur du champ.

3.6. Le rôle des formulaires

Les formulaires permettent de différencier, pour une même table, la création, la mise à jour - suppression ou la simple lecture des données. A cet effet, le rôle de chaque formulaire peut être précisé dans l’onglet « Données » des propriétés du formulaire.

Exemple : l’image d’écran ci-dessous montre un formulaire en cours de construction. On y voit le fond quadrillé du formulaire, les propriétés « données » du formulaire. Ce formulaire sera utilisable uniquement pour créer un nouvel article (les propriétés modification et suppression sont positionnées à « non » . Cette image d’écran montre aussi les rubriques de la table sur laquelle est basé le formulaire et la « boite à outils ».


3.7. Les sous-formulaires

Ÿ L’insertion d’un sous-formulaire dans un formulaire principal permet d’afficher et de traiter des données provenant de deux tables entre lesquelles existe une relation µ - 1 ACCESS (un lien un à plusieurs 1 - N dans le schéma conceptuel des données).

Le sous-formulaire affiche les enregistrements qui correspondent à l’enregistrement en cours dans le formulaire principal.

Exemple :

                                  

Ÿ Pour créer un formulaire avec sous - formulaire, en partant de deux tables liées par une relation un à plusieurs:

-         choisir Formulaire et Nouveau ;

-         dans le cadre Nouveau formulaire, cliquer sur Assistant formulaire ;

-         sélectionner la table située du côté marqué « 1 » des relations ACCESS (ou la requête d’où proviendront les données du formulaire principal) ;

-         inclure les champs souhaités dans le formulaire principal ;

-         sélectionner ensuite la table située du côté « µ » (ou la requête d’où proviendront les données du sous - formulaire) ;

-         inclure les champs souhaités dans le sous – formulaire ;

-         choisir « suivant » et suivre les instructions.

Ÿ Le formulaire étant créé, il peut être modifié et amélioré (cadrage, présentation générale, insertion d’une liste modifiable de choix dans le formulaire principal, modification des propriétés du formulaire principal ou du sous formulaire, …).

Le sous - formulaire peut notamment être particularisé pour des créations, des modifications ou en lecture seulement.

Remarque : un sous-formulaire peut être ajouté à un formulaire déjà existant en passant par la boite à outils et l’outil « Sous formulaires / sous états ».

3.8. L’exécution des formulaires

Pour exécuter un formulaire, choisir Objets - Formulaires sur le plan de travail ACCESS, sélectionner un formulaire et choisir « Ouvrir ».

La fermeture du formulaire provoque automatiquement la mise à jour de la table qui lui est associée.

4. LES IMPRESSIONS ET LES GRAPHIQUES ACCESS Ý

4.1. Les documents imprimés par ACCESS

ACCESS permet de restituer le contenu d’une base de données sous la forme d’états imprimés, d’étiquettes ou de graphiques (pour des données numériques).

Ces opérations sont facilitées par les assistants état, étiquette et graphique.

4.2. L’impression d’étiquettes

Choisir Objets - Etats puis Nouveau, Assistant Etiquette, sélectionner la table ou la requête d’où proviennent les données.

Les étiquettes seront aisément obtenues en suivant les indications de l’assistant.

4.3. La réalisation d’un état

Ÿ Choisir Objets - Etats puis Nouveau, Assistant Etat, valider par OK.

Le cadre ACCESS propose le choix de tables ou de requêtes d’où proviennent les données à faire figurer dans l’état. Plusieurs origines peuvent être combinées et l’on choisit ensuite les champs à intégrer dans l’état.

Dans le cas d’origines multiples, la table ou la requête qui dirige l’impression de l’état doit ensuite être définie (« … afficher les données par …. »), l’effet obtenu est visualisé à l’écran.

Un ou plusieurs niveaux de regroupement peuvent être spécifiés (on regroupe par exemple les lignes commandées par commande). Le tri des lignes est possible.

Pour terminer, l’état est vérifié par impression simulée à l’écran, puis nommé et enregistré.

Ÿ Un état généré par l’assistant peut être modifié de la même façon qu’un formulaire (modification des étiquettes ou des titres de colonnes, ajout de contrôles calculés, changement de propriétés, …).

Chaque état comporte plusieurs sections (état, page, groupe, détail) et chaque section peut disposer d’une entête et d’un pied.

Le cadre de travail sur un état se présente comme suit :

Ÿ Pour effectuer un calcul concernant un niveau de regroupement de données, il faut intégrer un contrôle indépendant dans le pied de groupe correspondant et y formuler le calcul à l’aide des opérateurs usuels et des fonctions standard ACCESS.

Les fonctions (SOMME, MOYENNE, MAX, MIN, …) qui portent sur des contrôles inclus dans le formulaire doivent faire référence aux noms attribués à ces contrôles (voir Affichage – Propriétés – Autres), placés entre crochets.

Exemple : ci-dessus, la somme porte sur le contrôle de nom « quantité ».

Cette opération peut présenter quelques difficultés :

- l’assistant ACCESS ne génère pas systématiquement les pieds de groupe. Pour faire apparaître si nécessaire le pied de groupe souhaité, sélectionner l’en-tête de la section, puis le menu Affichage - Trier et grouper, choisir Oui dans l’option pied de groupe ;

- quand une fonction porte sur un contrôle qui est lui-même calculé, il faut répéter ce calcul dans la fonction, si nécessaire en utilisant les noms des champs de table (on ne peut pas se contenter de citer le nom du champ calculé).

4.4. L’insertion de graphique dans un formulaire ou un état

Le graphique est réalisé à partir du menu Insertion - Graphique et en suivant les indications de l’assistant (l’assistant doit au préalable être installé, en option).

L’assistant ACCESS affiche un graphique « standard ». Pour obtenir l’image réelle, il faut obtenir un Aperçu avant impression ou bien Ouvrir le formulaire.


5. LES IMPORTATIONS - EXPORTATIONS ACCESS / OFFICE Ý

5.1. L’exportation de données vers EXCEL

Le contenu d’une table ACCESS (ou d’une requête) peut être transféré vers une feuille de calcul EXCEL :

-         sélectionner la table ou la requête ;

-         menu Fichier – Exporter ;

-         nommer la feuille de calcul, choisir le type EXCEL adapté ;

-         valider l’exportation.

5.2. L’importation de données EXCEL

Les données d’une feuille de calcul EXCEL peuvent être transférées dans une table ACCESS :

-         menu Fichier - Données externes – Importer ;

-         choisir le type de fichier (.xls) et le sélectionner ;

-         ACCESS affiche le contenu de la feuille de calculs ;

-         après le choix « suivant », il est possible de retenir comme noms de champs les libellés situés en tête des colonnes EXCEL ;

-         ACCESS propose ensuite de créer une nouvelle table ou d’enregistrer les données dans une table existante (la définition des champs de la table doit être compatible avec les données de la feuille EXCEL) ;

-         dans le cas d’une nouvelle table, des indications sont fournies pour définir sa clé primaire et les noms de champs ;

-         la table ACCESS est créée à la fin du processus.

5.3. L’exportation d’une liste de publipostage vers WORD

Une table ou une requête peut être exportée vers un fichier de source de données de fusion du traitement de texte WORD :

-         sélectionner la table ou la requête ;

-         menu Fichier – Exporter ;

-         choisir le type Microsoft Word Merge (*.txt) ou Fusion avec Microsoft ;

-         nommer et valider l’exportation.

Ce fichier sera utilisable pour un publipostage WORD.


6. COMPLEMENTS ACCESS Ý

6.1. Les macro-instructions

Ÿ Une macro-instruction ACCESS est un programme de traitement composé de quelques instructions synthétiques, appelées actions.

Exemples d’actions ACCESS : DéfinirValeur (définit la valeur d’un contrôle), OuvrirFormulaire (provoque l’ouverture d’un formulaire), Actualiser (pour réinitialiser le contenu d’un contrôle quand on a changé d’enregistrement), AtteindreEnregistrement (positionne sur un enregistrement particulier de la table), ExécuterSql (exécution d’un ordre SQL).

Une action nécessite des paramètres d’exécution (valeur, référence à un champ ou un contrôle, condition de sélection, ordre SQL, …).

Ÿ Le générateur de macros (lancé par Objets - Macros – Nouveau) permet de construire les macros. Il présente la liste des macro-instructions possibles et précise les paramètres nécessaires à chaque macro :

                                              

Ÿ Chaque macro ACCESS est nommée, enregistrée et peut être ouverte, modifiée ou supprimée comme les autres objets.

Ÿ Les macros permettent notamment d’affiner la réaction des formulaires et d’établir des liens entre différents formulaires ou entre un formulaire et une requête.

Des macros peuvent être attachées aux formulaires et être déclenchées automatiquement lors de certains événements (qui figurent dans l’onglet Evénements des propriétés d’un formulaire ou d’un contrôle). Pour générer une macro associée à un événement, il suffit de cliquer sur le  de l’événement concerné et d’activer le générateur de macro:

Ÿ Si une macro est nommée Autoexec, elle est automatiquement exécutée à l’ouverture d’une base de données.

Créer une telle macro contenant l’action OuvrirFormulaire et désignant un formulaire construit pour former un « menu général » permet donc de lancer automatiquement le premier écran d’une application.

6.2. L’usage d’un formulaire comme base d’une requête

Ÿ La valeur d’un contrôle contenu dans un formulaire peut être désignée par le nom complet du contrôle, sous la forme  [Formulaires] ! [nom du formulaire] ! [nom du contrôle], et reprise par ce nom dans un autre formulaire, dans un calcul ou comme critère de sélection dans une requête.

Remarque : il est IMPERATIF d’utiliser le mot-clé Formulaires au pluriel.

Exemple : [Formulaires] ![SAISIE-ART] ![code] .

Un générateur d’expressions peut aider à la construction des formulations complexes.

Ÿ La liaison entre des valeurs saisies dans un formulaire et une requête où ces valeurs servent de critère de sélection se fait de la façon suivante:

-         créer la requête sans préciser les critères de sélection, la nommer et l’enregistrer ;

-         créer un formulaire où seront saisies la ou les valeurs servant de critères de sélection (par exemple à l’aide de listes de choix), noter les noms attribués par ACCESS à ces contrôles (ces noms sont en standard du type ModifiableX) ;

-         insérer dans le formulaire un bouton de contrôle, y choisir Divers – Exécuter une requête et désigner la requête précédemment créée ;

-         enregistrer le formulaire (par exemple sous le nom « source ») ;

-         modifier la requête, y ajouter la référence aux contrôles du formulaire comme critères de sélection. Par exemple : =[formulaires] ![source] ![modifiable0] si un critère est entré dans le contrôle nommé modifiable0.

Dès lors, l’ouverture du formulaire (« source ») permet de saisir les critères de sélection, puis de déclencher directement la requête en cliquant sur le bouton de contrôle.

Ÿ De nombreuses variantes de ce procédé sont possibles, par exemple :

-         déclenchement automatique de la requête lors de la saisie d’un critère. Il faut pour ceci  ajouter en propriété du contrôle, onglet Evénement et « Après MAJ » une macro-instruction utilisant l’action OuvrirRequête pour lancer la requête ;

-         affichage du résultat de la requête dans un autre formulaire. Il faut pour ceci créer un formulaire basé sur la requête et utiliser un bouton ou une action ouvrant ce formulaire (au lieu de déclencher la requête comme précédemment) ;

-         déclenchement d’un état basé sur la requête.

6.3. L’automatisation des importations - exportations

Les opérations d’import-export peuvent être automatisées par des macro-instructions de type « Transfert » : il faut créer une macro ACCESS commandant le transfert, chaque ouverture de la macro provoquera ensuite le transfert des données.

Exemple : la macro ci-dessous permet d’exporter le résultat d’une requête ACCESS vers EXCEL (on peut aussi exporter une table).

Le fichier de destination (ou d’origine en cas d’importation) doit être complètement défini (chemin d’accès complet).


7. LES SECURITES ACCESS Ý

7.1. Le partage d’applications ACCESS

Les applications développées sous ACCESS peuvent être à usage individuel, ou être partagées entre plusieurs utilisateurs.

Les sécurités ACCESS permettent de gérer un ensemble de protections des accès aux bases de données partagées, notamment une protection au niveau des utilisateurs, qui doivent s’identifier et possèdent des droits sur certains objets de la base.

7.2. Le principe général de la sécurité au niveau utilisateur

Des comptes de groupes et des comptes d’utilisateurs sont définis. Les utilisateurs peuvent s’intégrer dans des groupes. L’ensemble des informations définissant les autorisations d’accès est rattaché à un groupe de travail.

Attention : ne pas confondre « compte de groupe » (notion liée à l’usage d’une base de données) et « groupe de travail » (élément du système d’administration des autorisations).

Chaque utilisateur dispose d’un nom et d’un mot de passe qui permettent de l’identifier.

7.3. La gestion des comptes de groupes et d’utilisateurs

Ÿ Le menu « Gestion des utilisateurs et des groupes » donne accès à la création ou la suppression de groupes et d’utilisateurs, à la définition des mots de passe, et au rattachement des utilisateurs aux groupes.

ACCESS crée en standard l’utilisateur « Administrateur » avec un mot de passe vierge, et deux groupes : « Administrateurs » et « Utilisateurs ».

Tout nouvel utilisateur est obligatoirement rattaché au groupe « Utilisateurs » et dispose d’un mot de passe vierge. Le groupe « Utilisateurs » ne dispose d’aucun droit sur les objets préexistant à la création du groupe de travail, mais dispose de tous les droits sur les nouveaux objets.

Le (ou les) utilisateur(s) du groupe « Administrateurs » a(ont) seul(s) le droit de modifier les autorisations d’accès et de créer des comptes d’utilisateurs ou de groupes.

Le groupe « Administrateurs » doit obligatoirement contenir au moins un utilisateur.

Ÿ Pour déclencher la connexion  des utilisateurs (la vérification de leur identité à l’ouverture d’une session d’utilisation des bases de données), il faut remplacer le mot de passe vierge de l’utilisateur « Administrateur » par un mot de passe particulier.

A l’inverse, la connexion est supprimée si l’on supprime ce mot de passe.

Exemple de cadre de connexion :

                                  

A sa première connexion, l’utilisateur doit saisir son nom, puis ouvrir une base de données et créer son mot de passe (menu Outils - Sécurité - Gestion des utilisateurs et des groupes, onglet Changer de mot de passe). Lors de ses connexions ultérieures, cet utilisateur devra saisir nom et mot de passe.

7.4. Les types d’autorisations et leur attribution

Ÿ Des autorisations explicites peuvent être accordées à chaque utilisateur. Les autorisations implicites sont accordées à un groupe : chaque utilisateur ajouté au groupe hérite des autorisations du groupe.

Les options de sécurité ACCESS sont accessibles par le menu Outils - Sécurité :

Ÿ L’attribution des droits d’accès se fait par le menu « Autorisations d’accès ». Des autorisations détaillées peuvent être accordées sur les objets de la base (tables, requêtes, formulaires, ….) aux groupes ou aux utilisateurs.

Seul un membre du groupe « Administrateurs », un utilisateur possédant le droit d’administrer l’objet ou le propriétaire de l’objet peut attribuer des droits.

Ÿ Des autorisations d’accès (Ouvrir/exécuter, Lire la structure, Modifier la structure, Lire les données, Modifier les données, Ajouter des données, Supprimer des données ou Administrer) sont attribuées sur les objets de la base (tables, formulaires, états, macros et requêtes notamment).

Ces autorisations peuvent être attribuées directement aux utilisateurs. Toutefois, l’organisation des entreprises fait qu’il est généralement plus adapté d’attribuer les droits à des groupes, puis de rattacher les comptes d’utilisateurs à ces groupes. Les utilisateurs héritent automatiquement des autorisations des groupes auxquels ils appartiennent.

7.5. Les groupes de travail

Ÿ Le groupe de travail décrit un environnement d’utilisation des bases de données. Il regroupe plusieurs utilisateurs, les bases qu’ils exploitent et les autorisations associées.

Le groupe de travail est matérialisé par un fichier système d’extension .mdw.

Ÿ Le groupe de travail standard « system.mdw » est créé par défaut à l’installation d’ACCESS . Il est rangé dans un répertoire système.

Afin de maîtriser les sécurités, il est préférable de créer un nouveau groupe au nom et à l’emplacement appropriés. Ce groupe, utilisé pour définir les autorisations d’un ensemble d’utilisateurs, devra leur être accessible : il peut être placé dans un répertoire partagé du serveur, avec les bases concernées.

Pour créer un groupe de travail, la méthode diffère selon les versions d’ACCESS :

-          sous ACCESS 2000, il faut localiser l’utilitaire wrkgadm.exe (par la fonction Rechercher du menu Démarrer) puis l’exécuter (« double clic »)

-          avec ACCESS XP, il suffit de lancer ACCESS puis d’exécuter le menu Outils - Sécurité - Administrateur de groupe de travail.

                                  

Le groupe de travail étant créé, il devient automatiquement actif, et les différents paramètres de sécurité y sont stockés.

Ÿ Pour rejoindre un groupe et y travailler, la procédure est similaire à la création de groupe, en choisissant l’option « Rejoindre ».

Plusieurs groupes de travail peuvent être définis.

Un utilisateur qui rejoint un groupe de travail (il se « connecte » au groupe) se voit soumis aux contrôles d’accès et aux autorisations mémorisées pour ce groupe (et ce pour toutes les bases ACCESS).

Remarque : il suffit qu’un utilisateur ACCESS se connecte à un groupe depuis son poste de travail pour qu’ensuite toute activation d’ACCESS sur ce poste déclenche les contrôles liés à ce groupe de travail. Le groupe utilisé précédemment par ACCESS reste implicitement le groupe en vigueur lors du lancement suivant d’ACCESS.

7.6. La protection des champs et contrôles

La sécurité ACCESS concerne globalement un objet (table, formulaire, …).

Pour protéger certains champs de tables, il faut définir plusieurs formulaires, adaptés à chaque utilisateur, où figureront uniquement les champs et contrôles autorisés, ou bien dans lesquels les contrôles qui ne doivent pas être modifiés seront verrouillés (Propriétés, onglet Données, Verrouillé = Oui).

7.7. Le contrôle des accès simultanés

Lorsque plusieurs utilisateurs travaillent sur une même base, ils peuvent vouloir accéder simultanément aux mêmes données. Ceci ne présente pas d’inconvénient si chacun se contente de lire les données. Mais si un utilisateur modifie les données en cours d’examen par un autre, il y a risque d’incohérence.

Exemple : un commercial consulte le stock d’un article pour informer son client, pendant qu’un autre valide une commande pour ce même article et annule de fait le stock précédent qui est affiché sur l’écran du premier.

Dans cette situation, la cohérence de fonctionnement de l’application peut être prise en charge par ACCESS. Un verrou peut être posé sur une table ou une ligne de table quand celle-ci est en cours de modification par un utilisateur.

Le menu Outils - Options - Avancé permet d’opter pour :

-          l’absence de protection (choix « Aucun ») ;

-          le blocage de la table toute entière quand un champ est en cours de modification (choix « Général ») ;

-          le blocage de la ligne de table en cours de modification (choix « Enregistrement modifié »).

10 avril 2007

PTI suite

INTITULE DE L’ACTIVITEE :

COMPETENCES EN RAPPORT A L’ACTIVITE :

INTITULE DE L’ACTIVITEE :

COMPETENCES EN RAPPORT A L’ACTIVITE :

CONTEXTE ET OBJECTIF DE L’ACTIVITE :

SOLUTION(S) POUR REPONDRE A L’OBJECTIF DE L’ACTIVITE :

PROCEDURE DE L’ACTIVITE :

PREREQUIS A L’ACTIVITE :

Matériels et Systèmes :                               Logiciels et langages :

DEROULEMENT DE L’ACTIVITE :

ANALYSE ET CONCLUSION DE L’ACTIVITE :

DEROULEMENT DE L’ACTIVITE :

CONTEXTE ET OBJECTIF DE L’ACTIVITE :

SOLUTION(S) POUR REPONDRE A L’OBJECTIF DE L’ACTIVITE :

PROCEDURE DE L’ACTIVITE :

PREREQUIS A L’ACTIVITE :

Matériels et Systèmes :                               Logiciels et langages :

DEROULEMENT DE L’ACTIVITE :

ANALYSE ET CONCLUSION DE L’ACTIVITE :

DEROULEMENT DE L’ACTIVITE :

10 avril 2007

PTI

PTI en page d'après collègue

Compte rendu d’activité

Nature de l’activité

Contexte :

Objectifs :

Compétences mises en œuvre pour la réalisation de cette activité :

C XX :

C XX :

C XX :

C XX :

Conditions de réalisations

Matériel :

Logiciels :

Durée : 45 minutes

          Autres contraintes et difficultés :

Description de l’activité réalisée :

Situation initiale :

Situation finale :

Outils utilisés :

Déroulement de l’activité :

Analyse des résultats obtenus :

Objectif atteint :

Bilan de l’activité :

10 avril 2007

Dossier type PTI

doosier type PTI ex de collègue

TITRE DU PTI

Compétences mises en pratiques :

Faites apparaître les compétences liées aux PTI que vous présenté.

Option Arles : C21-C22-C23-C24-C25-C26-C31-C32-C34-C36-C37

Option DA : C26-C32-C33-C34-C35-C37

Contexte de l’activité :

Mettre en situation et faire apparaître le besoin qui nécessite l’intervention d’une solution liée à l’activité.

Solution pour la réalisation de l’activité :

Solution adoptée liée à l’activité---Mettre en avant la nature de l’activité

Conditions pré-établis à la réalisation :

Les installations, les pré requis, le matériel et logiciel nécessaire au bon fonctionnement de l’activité

La procédure :

Le déroulement de l’activité dans ces grandes lignes

La conclusion :

Les objectifs atteints ou non----Le résultat de l’activité et ce que vous en avez tiré en terme d’expérience et de compréhension.

Ø      Le PTI doit comporter entre 1 et 4 pages maxi…..

Ø      Tous les titres et les compétences associées des PTI doivent être regroupé sur une première feuille de garde qui synthétise l’ensemble du dossier.

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10 avril 2007

corus sur les modes opératoires d'après uen collègue

MODES OPERATOIRES

MODOP1 - PREMIERE MISSION

Question 5 : Etablir des relations (entre la table CLIENT et CATEGORIE)

a) Activez le menu Outils – Relations depuis la fenêtre Base de données

b) Ajoutez toutes les tables

c) A quelle condition peut on établir une relation entre 2 tables ?

d) Etablissez la relation entre la table PRODUIT et CATEGORIE

Créez la relation en faisant glisser le champ CODECAT de la table CATEGORIE (côté UN) vers le champ CODECAT de la table PRODUITS (côté plusieurs) (Cf schéma ci-dessus). La boîte de dialogue suivante apparaît :

Cochez la case Appliquer l’intégrité référentielle puis vérifiez que soit cochée la case Une à plusieurs

Question 8 : Récupération des données des autres tables : importation des tables depuis un classeur Excel

q       Sélectionnez le menu Fichier – Données externes - Importer depuis la fenêtre Base de données d’Access

q       Sélectionnez le dossier où est stocké le fichier FACTURE.XLS puis le type de fichier : « Microsoft Excel »

q       Sélectionnez ensuite le fichier FACTURE.XLS et cliquez sur le bouton Importer

q       Sélectionnez la table CLIENT

Après avoir cliqué sur Suivant, Access vous demande de confirmer que la 1ère ligne contient les noms de champs :

A l’étape suivante, Access demande la destination des données à importer :

Comme la structure de la table CLIENT a été créée, vous devez indiquer à Access le nom de la table CLIENT :

REMARQUE : Pour gagner du temps, il aurait été possible de ne pas créer au départ la structure de la table CLIENT, dans ce cas on aurait coché la case « dans une nouvelle table »

A la fin de l’opération d’importation, un message signale le nombre d’enregistrements importés.

Remarque : les noms de champs dans Excel et ceux définis dans Access doivent être identiques.

MODOP2 - DEUXIEME MISSION - Les formulaires et sous-formulaires

I/ Le formulaire FACTURE fondé sur des tables

Etape 1 : Création du formulaire principal

Dans la fenêtre Bases de données, sélectionnez l’objet Formulaire puis cliquez sur « Créer un formulaire en utilisant l’assistant »

Sélectionnez la table FACTURE et sélectionnez les champs figurant dans le formulaire

q       Sélectionnez ensuite la présentation Colonne simple

q       Saisissez un nom pour le formulaire et cochez la case Modifier la structure du formulaire

Vous devez obtenir à peu près ceci :

Pour agrandir le formulaire, faites glisser la bordure droite à droite et la bordure bas du formulaire vers le bas pouvez agrandir le formulaire

Agrandissez la taille du formulaire

Etape 2 : Insertion du sous-formulaire

q       Cliquez sur le bouton Sous formulaire/sous état :

q       Dessinez une zone rectangulaire de 10 cm de large sur 5 de hauteur

q       Dans l’assistant formulaire, indiquez la source des données du sous formulaire

Le choix effectif des champs se fait dans la boîte de dialogue suivante :

1) Sélectionnez la table contenant le détail des factures

2) Sélectionnez Les champs à faire figurer dans le sous-formulaire, soit CODEART et QTESFAC

3) Cliquez sur ce bouton pour chaque champ sélectionné

Vous pouvez laisser le nom proposé par Access

 

II/ Un formulaire élaboré pour la saisie des factures (utilisation de requêtes)

1)      La requête « ENTETE FACTURE »

·      Sélectionnez l’objet requête - cliquez sur Nouveau et Mode création.

·      Sélectionnez chaque table et cliquez sur ajouter (tables à sélectionner : FACTURE, CLIENT, REGLEMENT)

·      Dans le menu affichage vérifiez que l’option soit cochée (cette option est très importante lorsqu’on créée des requêtes multi-tables

·      Faites glisser les champs utiles (dans l’ordre d’apparition dans le formulaire)

La liste des champs et les tables sources sont indiquées ci-après :

Ces 3 champs seront mis à jour à chaque nouvelle commande. Les autres champs ne sont affichés qu’à titre d’information et de contrôle

·      Visualisez le résultat de la requête en cliquant sur le bouton Affichage - Feuille de données

·      Fermez la requête et enregistrez la sous le nom ENTETE FACTURE (entête bon de commande)

2)      la requête CORPS FACTURE

·      Sélectionnez l’objet requête - cliquez sur Nouveau et Mode création.

·      Sélectionnez chaque table et cliquez sur Ajouter (tables à sélectionner : PRODUIT et FIGURER)

·      Faites glisser les champs utiles (dans l’ordre d’apparition du formulaire)

Les champs à inclure sont indiqués ci-après :

Champs calculés qui ne sont pas stockés dans les tables. Ces champs ont pour nom HT et MTVA. L’expression est à saisir. Access ajoute les [ ] lorsqu’on les omet à la saisie (voir ci-après)

Création de champs calculés

·      Pour chaque ligne du corps de la facture, on veut connaître :

·      Le montant HT (QTESFAC*PRIX UNITAIRE)

·      Le montant de la TVA (=HT*taux de TVA)

Avant de procéder, insérer une colonne juste avant TVAART : Sélectionnez la colonne TVAART puis cliquez sur Insertion - Colonnes

Résultat à obtenir :

·      Formatez les deux champs calculés en Monétaire (Euros) – 2 Décimales (Sélection du champ puis clic sur le bouton Propriétés)

·      Visualisez le résultat de la requête en cliquant sur le bouton AffichageMode Feuille de données

·      Fermez la requête et enregistrez la sous le nom CORPS FACTURE

3) Création du formulaire « Saisie des factures »

* Le formulaire Principal

- Fermez tous les formulaires, requêtes, et tables ouverts

- Dans la fenêtre Base de données, sélectionnez l’onglet Formulaire puis cliquez sur le bouton Nouveau (ou sur  « Créer un formulaire en utilisant l’assistant »)

- Sélectionnez ensuite la requête ENTETE FACTURE et sélectionnez tous les champs dans l’ordre

- Le titre du formulaire est « Saisie des factures » (le nom de sauvegarde sera le même)

* Le sous-formulaire

- Ouvrez le formulaire principal « Saisie des factures précédemment crée en mode création

- Cliquez sur le bouton Assistant sous-formulaire/sous-état

·      Tracez à l’écran en dessous du champ MODEREG, le sous-formulaire

·      Dans l’assistant, indiquez que la source des données provient d’une table ou d’une requête existante :

·      Sélectionnez ensuite la requête source (soit CORPS FACTURE) et sélectionnez tous les champs.

·      

Cochez cette case

Cliquez sur le bouton et sélectionnez le champ N°FAC

Procédez de la même manière

Il faut ensuite indiquer à l’assistant quel est le champ permettant de lier le formulaire principal (contenant en fait l’entête du bon de commande) avec le sous-formulaire (en fait les lignes de commande) :

REMARQUES :

·      Lorsque le formulaire et le sous-formulaire sont fondés sur des tables et que des relations ont été établies entre les tables sur la base de clés primaires et étrangères, ACCESS sait automatiquement déterminer le champ qui sert de liaison entre le formulaire et le sous-formulaire. En revanche, lorsque le formulaire et/ou le sous-formulaire sont fondés sur des requêtes, il faut définir soi-même le champ de liaison.

·      Le champ N°FAC du formulaire principal est appelé champ Père et le champ N°FAC du sous-formulaire est appelé champ Fils :

·      Un Père a 1 ou plusieurs Fils mais un Fils n’a qu’1 seul Père. Dans l’exemple, en effet, une commande (identifié par un numéro de commande unique) comporte plusieurs lignes (chaque ligne est identifiée par un numéro de commande ET un numéro de produit)

Donnez un nom significatif au sous-formulaire avant de terminer la création du sous-formulaire :

FIGNOLAGES DIVERS :

En mode création,  modifiez la présentation de manière à obtenir ceci :

Quelques éléments de mode opératoires :

·      Les étiquettes concernant l’identité du client ont été supprimées

·      Pour modifier le sous-formulaire, il faut d’abord fermer le formulaire « Saisie des factures » en prenant soin de sauvegarder les modifications.

·      Puis dans la fenêtre base de données, il faut ouvrir le sous-formulaire « Détail des factures »

·      et l’affichez en mode feuille de données (Bouton Affichage – Feuille de données)

·      Sélectionnez toutes les colonnes et appliquez une taille de police de 8

·      Sélectionnez la colonne N°FAC et masquez la (menu Affichage – Masquer Colonnes) car cette colonne se met à jour automatiquement et contient pour chaque facture la même valeur que celle figurant dans le formulaire principal.

·      Ajustez ensuite la largeur de toutes les colonnes pour que le sous-formulaire s’affiche correctement dans le formulaire principal.

·      Enregistrez le sous-formulaire (en conservant le même nom : « Détail des factures » et fermez le.

·      Ouvrez le formulaire « Saisie des factures » et vérifiez la présentation (au besoin procédez aux modifications qui s’imposent)

MODOP3 : Techniques avancées sur les formulaires

Question 1 : Les sous-totaux dans le formulaire « Saisie des factures 2 »

Pour mettre des sous-totaux dans le formulaire principal deux étapes sont à suivre :

- Mettre les sous totaux dans le pied de page du sous-Formulaire

- Mettre une formule dans le pied de page du formulaire principal.

1.1 Mettre des sous totaux dans le pied de page du sous formulaire :

·      Ouvrez le sous-formulaire Détail des factures 2  en mode Création

·      Affichez la boîte à outils (Menu affichage Boîte à outils)

·      Cliquez sur le bouton zone de texte  : figurant dans la boîte à outils

·      Créez le champ TOTAL HT dans le pied du formulaire « Détail des factures 2 »

·      Nommez l’étiquette TOT HT

·      Saisissez la formule suivante dans la zone de texte :

=Somme([HT])

Ce qui donne ceci :

·      Il faut maintenant définir un format pour la zone de texte :

Þ    Sélectionnez la zone de texte

Þ    Cliquez sur le bouton propriété

Þ    Dans la boîte de dialogue Propriétés, cliquez sur l’onglet Format :

·      Sélectionnez le format Monétaire et 2 décimales

·      

Remplacez le texte inscrit ici par TOT HT

Donnez un nom significatif au contrôle (car ce nom sera utilisé ultérieurement dans un autre formulaire) :

·      Procédez de même pour les champs TOT TVA  et  TOT TTC  (à paramétrer comme suit :)

Nom donné à la zone de texte et qui pourra servir dans un autre formulaire

Le pied de formulaire en mode création doit ressembler à ceci :

Zone de texte : correspond à un champ (de table ou calculé)

Indique l’origine des données, peut être le nom d’un champ d’une table ou comme ici une expression calculée

Etiquette

Visualisez le formulaire Saisie des factures 2 : les totaux concernent toutes les lignes de toutes les commandes :

1.2 Inclure les champs précédemment calculés dans le formulaire principal

·      Fermez d’abord le sous-formulaire « Détail des factures 2 »

·      Ouvrez le formulaire « Saisie des factures 2 » en mode création

1.3 Modifiez la liaison entre le formulaire principal et le sous formulaire :

-       Sélectionnez le sous-formulaire

-       Affichez les propriétés

-       Cliquez sur l’onglet toutes et modifiez la propriété Objet source et Nom en saisissant :

Détail des factures 2

Ajoutez juste un 2

·      Dans le pied du formulaire, créez maintenant 3 zones de textes :

·      Paramétrez ces zones de texte pour obtenir ceci :

Le détail est donné ci-dessous pour chaque zone de texte :

Plutôt que de saisir les formules et risquer une erreur de saisie, Access met à votre disposition un générateur d’expression. Voir l’exemple ci dessous pour la zone de texte TOT HT

Le générateur d’expressions :

Au lieu de saisir la propriété Source contrôle soi-même, cliquez sur le bouton Générateur d’expressions qui apparaît lorsqu’on clique dans certaines propriétés :

Ce générateur se présente comme suit :

2) Sélectionnez  ensuite le contrôle  concerné par l’expression (ici la zone de texte TOT HT)

3) Valeur est sélectionnée par défaut

4) Cliquez ici pour générer l’expression

1) Sélectionnez l’objet  concerné par l’expression (ici le sous formulaire « Détail de la facture 2 »

Après avoir cliqué sur le bouton Coller, on obtient :

5) Validez pour générer l’expression dans la fenêtre de propriétés

Question 2 : Créer des zones de liste modifiable

a) Zone de liste modifiable pour la recherche des clients

Exemple : Code client

Avant

Après

Un clic sur le bouton et les noms des clients apparaissent en clair

Mode opératoire :

Þ    En mode création, sélectionnez le contrôle contenant le numéro de client

Þ    Cliquez sur le menu Format – Remplacer par  - Zone de liste modifiable

Þ    Affichez ensuite les propriétés de la zone de liste et paramétrez les propriétés suivantes :

Þ   

La colonne 1 contient le code et la colonne 2 contient le nom des clients

Table contenant les données à afficher dans la zone de liste

La colonne 1 contient le code dont la valeur sera conservée dans le formulaire

Þ    Affichez le Formulaire pour vérifier l’affichage, en mode création, vous pouvez élargir la taille de la zone de liste pour améliorer l’affichage :

b) Zone de liste pour rechercher le code article dans le sous-formulaire (la procédure est similaire)

Þ    Remplacez la zone de texte CODEART en zone de liste modifiable

Þ    Paramétrez les propriétés suivantes :

·        Remplacez la zone de texte CODEART en zone de liste modifiable

·        Paramétrez les propriétés suivantes :

La colonne 1 (codeart) a une largeur d’1 cm et la colonne 2 (Designart) une largeur de 5cm de manière à visualiser entièrement le nom des articles lorsqu’on clique sur le bouton de liste

Indique la taille maximum de la zone de la liste.

La largeur de 6 cm donne un affichage en mode création affreux … car le contrôle empiète sur les contrôles voisins

Mais en mode Affichage – Formulaire, la taille prend tout son sens :

REMARQUE :

Beaucoup de modifications dans un formulaire ou un état peuvent être évitées, si les propriétés correspondantes sont définis lors de la CREATION DES TABLES et AVANT CREATION du formulaire. C’est le cas notamment :

- des formats d’affichage

- des légendes de champs

- des listes de choix.

Si ces éléments sont donc correctement prévus au moment de la création de la table, ils s’appliqueront à tous les formulaires et états qui seront créés ultérieurement (la création des zones de liste modifiables dans le formulaire aurait ainsi pu être évitée car définie  automatiquement).

MODOP5 Finalisation du projet et communication

I/ Finalisation de l’application

            A/ Des boutons de fermeture dans les trois formulaires suivants :

·              Saisie des factures 2

·              Saisie des clients

·              Saisie des produits

Eléments de modes opératoires (la procédure est identique pour chaque formulaire)

  • Ouvrez le formulaire à modifier en mode création
  • Sélectionnez l’outil « Bouton de commande » et  effectuez le tracé du bouton en pied de formulaire (ou en entête)
  • L’assistant vous guide ensuite :

Il ne reste plus qu’à sélectionner l’action désirée avant de passer à la suite

La catégorie vous donne une première idée de ce que vous souhaitez faire

Vous pouvez aussi rechercher des images stockées sur disque

Vous pouvez affecter soit un texte, soit une image au bouton de commande

Affecter un nom significatif au bouton (pour personnaliser le code VBA généré par access, on s’y retrouve plus facilement)

o       Il ne reste plus qu’à ajuster la taille du bouton, à sauvegarder les modifications et à tester le bouton en mode formulaire.

Exemple de résultat obtenu :

o       Ajustez la taille de la fenêtre pour que le contenu puisse s’afficher entièrement

B/ Sécuriser les formulaires

Pour éviter que l’utilisateur ne ferme intempestivement la fenêtre, ne modifie la taille de celle-ci ou n’utilise les ascenseurs, vous allez le priver de ces éléments :

§         Ouvrez le formulaire à modifier en mode création (exemple illustré pour le formulaire « Saisie des factures 2 »)

§         Sélectionnez le formulaire en entier en cliquant sur le bouton de sélection de formulaire

:

§         Affichez les propriétés du formulaire (menu Affichage – Propriétés ou bouton

§         

§         Modifiez les propriétés suivantes (Onglet « Toutes ») :

1

5

2

4

6

3

1

  Supprime les ascenseurs horizontaux et verticaux

2

  Supprime le sélecteur d’enregistrement (barre verticale grise contenant le

symbole  )

3

Place le formulaire au premier plan en interdisant l’accès aux autres fenêtres (comme la plupart des boîtes de dialogue du type « Enregistrer sous » si la valeur

de la propriété est « oui ». Attention : on peut bloquer Access si on a pas prévu une porte de sortie comme un bouton « Fermer »

4

En fonction de la valeur choisie, interdit tout re-dimensionnement du formulaire (au préalable, prendre soin d’ajuster le formulaire par rapport à l’écran)

5

A Non, supprime les boutons « Fermer », « réduire » et « agrandir/Restaurer »

6

Oui : affiche le bouton Fermer (sauf si la propriété « Boite contrôle a pour valeur Non

Au final, en mode formulaire on obtient cela :

REMARQUE :

Pour connaître le rôle d’une propriété de contrôle, appuyez sur la touche <F1> pour obtenir l’aide contextuelle

Après avoir procédé aux manipulations décrites ci-dessus, procédez de même pour les formulaires « Saisie des produits » et « saisie des clients ».

10 avril 2007

analsye croisée dynamique

d'après un collègue, l'analsye croisée dynamique sur excel

En quoi consiste l’analyse croisée ?

Pour le découvrir, on vous a remis un tableau détaillant les ventes de la société Papetière (detailfacture.xls) reproduit ci-dessous :

L’analyse croisée va consister à faire des regroupements de valeurs sur plusieurs niveaux.

Exemple : On veut obtenir le total des ventes HT par client et par catégorie :

1er    niveau de regroupement : par client

2ème niveau de regroupement : par catégorie de produit

Le tableau de synthèse se présentera comme suit :

catégorie 1

catégorie 2

catégorie 3

Total

Client 1

Client 2

Client 3

Total

Si on avait eu un champ représentant, on aurait pu avoir 3 niveau de regroupement : par représentant, par client et par catégorie.

Application pratique

Pour répondre à la demande des dirigeants de l’entreprise, vous devez concevoir le « rapport d’analyse croisée » des ventes HT par client et catégorie de produit.

q       Ouvrez le classeur detailfacture.xls sous excel.

q       Sélectionnez la feuille nommée détail puis sélectionnez la plage de cellules A1 à K42

q       Déroulez le menu Données puis cliquez sur rapport de tableau croisé dynamique…

La première boîte de dialogue de l’assistant tableau croisé dynamique apparaît :

1ère étape

Validez en cliquant ici

Permet de faire une analyse sous forme de tableau ET de graphique (sélectionnez cette option)

Permet de faire une analyse sur des données provenant de plusieurs feuilles de calcul

Permet de faire une analyse sur des données provenant d’un autre classeur, d’une base de données Access ou de toute autre source externe

Sélectionnez cette option (car l’analyse croisée porte sur une seule feuille de calcul

2ème étape :

Validez en cliquant ici

Si la plage de données n’est pas correcte, il est encore possible de la modifier ici

3ème étape

Cliquez sur ce bouton pour définir les champs de regroupement et les sous totaux

Le graphique sera réalisé sur une nouvelle feuille

Vous obtenez l’écran suivant :

Les champs sont ici, il faut les faire glisser dans les zones page, colonne, ligne et données

Pour répondre à la demande du Directeur, il faut obtenir ceci :

Si le tableau avait comporté une colonne représentant, on aurait pu avoir pour chaque client et catégorie, le total des ventes avec un affichage représentant par représentant.

Validez sur OK puis sur le bouton Terminer de la boîte de dialogue précédente. Vous devez alors obtenir deux nouvelles feuilles (une feuille graphique nommée graph1 et une nouvelle feuille nommée Feuil…)

Le tableau d’analyse croisée se présente comme suit :

On obtient bien pour chaque client, le montant total des ventes HT par catégorie de produits.

Il est possible de limiter le nombre de clients affichés en cliquant sur la liste déroulante NOMCLI ou le nombre de catégories en cliquant sur le champ CODECAT

Par défaut, toutes les valeurs sont sélectionnées.

                     

Il est également possible de filtrer les données dans le graphique :

Modifier un tableau croisé dynamique :

Grâce à la palette flottante, il est possible d’ajouter, de supprimer ou de remplacer des champs de regroupement :

Exemple 1 :

Outre le nom des clients, on voudrait connaître pour chaque client, les n° des factures qui lui ont été adressées :

Il suffit de faire glisser le champ NUMFAC de la palette flottante vers le tableau d’analyse sur le champ NOMCLI (voir écran suivant).

Remarque : NUMFAC doit être placé après NOMCLI car 1 client peut avoir plusieurs factures (la ventilation est intéressante).

A l’inverse, pour supprimer un champ du tableau, il suffit de le faire glisser depuis le tableau vers la palette.

Le champ NUMFAC s’est intercalé ici. Pour chaque client, on obtient tous les n° de facture et la ventilation par catégories de produits (ici chaque client n’a qu’une seule facture mais aurait pu en avoir plusieurs)

On obtient alors (extrait) :

Un nouveau sous-total est apparu

Remarque : le champ de regroupement NUMFAC a été mis « en ligne », s’il avait été mis en colonne de regroupement, le résultat serait bizarre et en tout cas inexploitable :

Pour chaque n° de facture, on a désormais la ventilation par catégorie, ce qui n’est pas lisible

Exemple n° 2 : Un champ de page permettant de connaître pour chaque date les noms des clients, les n° de facture, et le montant par catégorie de produit :

Comme dans l’exemple 1, il faut déplacer un champ (le champ DATEFAC et le glisser dans une cellule spéciale, la cellule du champ de page :

Ce qui donne (extrait)

Quel est l’intérêt ?

On peut désormais suivre l’analyse soit pour toutes les factures soit date par date en cliquant sur la liste déroulante DATEFAC.

Exemple : A combien s’élèvent les ventes par catégories d’articles pour la journée du 16/10/2001 (avec détail du nom des clients et des numéros de facture) ?

Il suffit de sélectionner la date et de valider :

Le résultat est éloquent :

Les factures n° 2 et 3 concernant respectivement Micropuce et Crion ont été établies au 16/10/2001.

Exemple n° 3 : Modification des fonctions de calcul

Le champ de données HT a fait l’objet d’une somme. D’autres fonctions sont possibles. Pour y accéder depuis la palette « tableau croisé dynamique », cliquez sur le bouton Paramètre de champs après avoir sélectionné le champs de données :

On retrouve les fonctions statistiques connues d’Excel, en particulier la fonction NB qui permet de compter le nombre de cellules numériques et NbVal permettant de compter le nombre de cellules contenant indifféremment du texte ou des nombres

Exemple : on veut compter le nombre d’articles différents achetés par chaque client pour chaque catégorie de produits.

Au lieu d’une fonction somme, on va ici compter le nombre de montant HT :

Le résultat est le suivant (le champ NUMFAC a été supprimé) :

Sur la période et d’après les totaux, on sait que 15 articles de la catégories ACC ont été vendus, 19 pour la catégorie MOB, etc…

Pour la suite rétablissez la fonction Somme sur le champ de données HT.

Exemple n° 4 : Mise à jour de la feuille source

Le 30 mars 2001, nous avons vendu à Briko boutik les articles suivants (facture n°10)

CODECAT

CODEART

DESIGNART

QTESFAC

PUHT

MOB

7

Boîte de CD-RW /10

2

23.17

ACC

4

Stylo à transparents permanents

15

1.14

Dans la feuille détail, il faut donc ajouter les deux lignes suivantes :


(les 3 dernières cellules sont obtenues par recopie

Problème : Les lignes ajoutées après le tableau seront ignorées. Il suffit donc d’insérer 2 lignes vierges en haut du tableau après le champ et de saisir les deux lignes ci-dessus.

Un retour à la feuille contenant le rapport d’analyse croisée nous montre que les nouvelles données ajoutées n’ont pas été synthétisées.

Il faut donc ici recalculer les données. Il suffit de cliquer sur le bouton Actualiser les données .

Résultat :

La facture n°10 a été ajoutée. On constate par ailleurs que dans les champs de regroupement, Excel a opéré automatiquement un tri croissant

Conclusion : L’outil « Rapport de tableau croisé dynamique » est un outil très puissant de synthèse pour des volumes de données importants. Couplé à un SGBDR il accroit avec simplicité la puissance de cet outil (bien qu’avec ACCESS il soit possible de faire des requêtes « analyse croisée », la procédure est plus complexe.

Remarque : pour pouvoir utiliser cet outils, les données sources doivent être organisées sous la forme d’une table (champs – enregistrements).

Exemple 5 : synthèse des données en valeurs relatives

Le champ de données peut être représenté en pourcentages, il suffit d’afficher les propriétés du champ, puis de cliquer sur le bouton « Options » :

L’option % par ligne permet de connaître la ventilation en % des ventes par catégorie et pour chaque client :

Exemple :

L’option % par colonne permet au contraire de connaître pour une catégorie donnée, la ventilation en pourcentage entre les clients.

Exemple :

On sait ainsi que le chiffre d’affaires de la catégorie ACC a été réalisé pour 59% avec le client « centre français de la restauration ».

L’option % du total donne ceci :

On connaît ainsi la part relative de chaque client dans la réalisation du chiffre d’affaires.

Synthèse

En quoi consiste l’analyse croisée ?

Pour le découvrir, on vous a remis un tableau détaillant les ventes de la société Papetière (detailfacture.xls) reproduit ci-dessous :

L’analyse croisée va consister à faire des regroupements de valeurs sur plusieurs niveaux.

Exemple : On veut obtenir le total des ventes HT par client et par catégorie :

1er    niveau de regroupement : par client

2ème niveau de regroupement : par catégorie de produit

Le tableau de synthèse se présentera comme suit :

catégorie 1

catégorie 2

catégorie 3

Total

Client 1

Client 2

Client 3

Total

Si on avait eu un champ représentant, on aurait pu avoir 3 niveau de regroupement : par représentant, par client et par catégorie.

Application pratique

Pour répondre à la demande des dirigeants de l’entreprise, vous devez concevoir le « rapport d’analyse croisée » des ventes HT par client et catégorie de produit.

q       Ouvrez le classeur detailfacture.xls sous excel.

q       Sélectionnez la feuille nommée détail puis sélectionnez la plage de cellules A1 à K42

q       Déroulez le menu Données puis cliquez sur rapport de tableau croisé dynamique…

La première boîte de dialogue de l’assistant tableau croisé dynamique apparaît :

1ère étape

Validez en cliquant ici

Permet de faire une analyse sous forme de tableau ET de graphique (sélectionnez cette option)

Permet de faire une analyse sur des données provenant de plusieurs feuilles de calcul

Permet de faire une analyse sur des données provenant d’un autre classeur, d’une base de données Access ou de toute autre source externe

Sélectionnez cette option (car l’analyse croisée porte sur une seule feuille de calcul

2ème étape :

Validez en cliquant ici

Si la plage de données n’est pas correcte, il est encore possible de la modifier ici

3ème étape

Cliquez sur ce bouton pour définir les champs de regroupement et les sous totaux

Le graphique sera réalisé sur une nouvelle feuille

Vous obtenez l’écran suivant :

Les champs sont ici, il faut les faire glisser dans les zones page, colonne, ligne et données

Pour répondre à la demande du Directeur, il faut obtenir ceci :

Si le tableau avait comporté une colonne représentant, on aurait pu avoir pour chaque client et catégorie, le total des ventes avec un affichage représentant par représentant.

Validez sur OK puis sur le bouton Terminer de la boîte de dialogue précédente. Vous devez alors obtenir deux nouvelles feuilles (une feuille graphique nommée graph1 et une nouvelle feuille nommée Feuil…)

Le tableau d’analyse croisée se présente comme suit :

On obtient bien pour chaque client, le montant total des ventes HT par catégorie de produits.

Il est possible de limiter le nombre de clients affichés en cliquant sur la liste déroulante NOMCLI ou le nombre de catégories en cliquant sur le champ CODECAT

Par défaut, toutes les valeurs sont sélectionnées.

                     

Il est également possible de filtrer les données dans le graphique :

Modifier un tableau croisé dynamique :

Grâce à la palette flottante, il est possible d’ajouter, de supprimer ou de remplacer des champs de regroupement :

Exemple 1 :

Outre le nom des clients, on voudrait connaître pour chaque client, les n° des factures qui lui ont été adressées :

Il suffit de faire glisser le champ NUMFAC de la palette flottante vers le tableau d’analyse sur le champ NOMCLI (voir écran suivant).

Remarque : NUMFAC doit être placé après NOMCLI car 1 client peut avoir plusieurs factures (la ventilation est intéressante).

A l’inverse, pour supprimer un champ du tableau, il suffit de le faire glisser depuis le tableau vers la palette.

Le champ NUMFAC s’est intercalé ici. Pour chaque client, on obtient tous les n° de facture et la ventilation par catégories de produits (ici chaque client n’a qu’une seule facture mais aurait pu en avoir plusieurs)

On obtient alors (extrait) :

Un nouveau sous-total est apparu

Remarque : le champ de regroupement NUMFAC a été mis « en ligne », s’il avait été mis en colonne de regroupement, le résultat serait bizarre et en tout cas inexploitable :

Pour chaque n° de facture, on a désormais la ventilation par catégorie, ce qui n’est pas lisible

Exemple n° 2 : Un champ de page permettant de connaître pour chaque date les noms des clients, les n° de facture, et le montant par catégorie de produit :

Comme dans l’exemple 1, il faut déplacer un champ (le champ DATEFAC et le glisser dans une cellule spéciale, la cellule du champ de page :

Ce qui donne (extrait)

Quel est l’intérêt ?

On peut désormais suivre l’analyse soit pour toutes les factures soit date par date en cliquant sur la liste déroulante DATEFAC.

Exemple : A combien s’élèvent les ventes par catégories d’articles pour la journée du 16/10/2001 (avec détail du nom des clients et des numéros de facture) ?

Il suffit de sélectionner la date et de valider :

Le résultat est éloquent :

Les factures n° 2 et 3 concernant respectivement Micropuce et Crion ont été établies au 16/10/2001.

Exemple n° 3 : Modification des fonctions de calcul

Le champ de données HT a fait l’objet d’une somme. D’autres fonctions sont possibles. Pour y accéder depuis la palette « tableau croisé dynamique », cliquez sur le bouton Paramètre de champs après avoir sélectionné le champs de données :

On retrouve les fonctions statistiques connues d’Excel, en particulier la fonction NB qui permet de compter le nombre de cellules numériques et NbVal permettant de compter le nombre de cellules contenant indifféremment du texte ou des nombres

Exemple : on veut compter le nombre d’articles différents achetés par chaque client pour chaque catégorie de produits.

Au lieu d’une fonction somme, on va ici compter le nombre de montant HT :

Le résultat est le suivant (le champ NUMFAC a été supprimé) :

Sur la période et d’après les totaux, on sait que 15 articles de la catégories ACC ont été vendus, 19 pour la catégorie MOB, etc…

Pour la suite rétablissez la fonction Somme sur le champ de données HT.

Exemple n° 4 : Mise à jour de la feuille source

Le 30 mars 2001, nous avons vendu à Briko boutik les articles suivants (facture n°10)

CODECAT

CODEART

DESIGNART

QTESFAC

PUHT

MOB

7

Boîte de CD-RW /10

2

23.17

ACC

4

Stylo à transparents permanents

15

1.14

Dans la feuille détail, il faut donc ajouter les deux lignes suivantes :


(les 3 dernières cellules sont obtenues par recopie

Problème : Les lignes ajoutées après le tableau seront ignorées. Il suffit donc d’insérer 2 lignes vierges en haut du tableau après le champ et de saisir les deux lignes ci-dessus.

Un retour à la feuille contenant le rapport d’analyse croisée nous montre que les nouvelles données ajoutées n’ont pas été synthétisées.

Il faut donc ici recalculer les données. Il suffit de cliquer sur le bouton Actualiser les données .

Résultat :

La facture n°10 a été ajoutée. On constate par ailleurs que dans les champs de regroupement, Excel a opéré automatiquement un tri croissant

Conclusion : L’outil « Rapport de tableau croisé dynamique » est un outil très puissant de synthèse pour des volumes de données importants. Couplé à un SGBDR il accroit avec simplicité la puissance de cet outil (bien qu’avec ACCESS il soit possible de faire des requêtes « analyse croisée », la procédure est plus complexe.

Remarque : pour pouvoir utiliser cet outils, les données sources doivent être organisées sous la forme d’une table (champs – enregistrements).

Exemple 5 : synthèse des données en valeurs relatives

Le champ de données peut être représenté en pourcentages, il suffit d’afficher les propriétés du champ, puis de cliquer sur le bouton « Options » :

L’option % par ligne permet de connaître la ventilation en % des ventes par catégorie et pour chaque client :

Exemple :

L’option % par colonne permet au contraire de connaître pour une catégorie donnée, la ventilation en pourcentage entre les clients.

Exemple :

On sait ainsi que le chiffre d’affaires de la catégorie ACC a été réalisé pour 59% avec le client « centre français de la restauration ».

L’option % du total donne ceci :

On connaît ainsi la part relative de chaque client dans la réalisation du chiffre d’affaires.

Synthèse

10 avril 2007

les fonctions de liste

d'après excel, les fonctions de liste ( corus d'une collègue)

OBJECTIFS

  • Créer une liste

  • Sélectionner des enregistrements dans une liste

  • Utilisation de filtres personnalisés

  • Saisie - modification d’enregistrements  avec une grille de saisie

  • Extraction d’enregistrement avec filtre élaboré

LES FONCTIONS DE LISTE

CAS SUPPORT : SARL PAPETHEQUE - fichier TABLE.XLS

DEFINITION :

Dans EXCEL, une liste correspond  à une table dont les colonnes représentent des champs et les lignes des enregistrements. 

EXCEL emploie le terme de « gestion de listes » plutôt que de « gestion de tables »

A QUOI SERT UNE LISTE (ou table) ?

Une liste peut :

·      être consultée dans son intégralité et être triée

·      être filtrée pour ne faire apparaître que les enregistrements répondant à un critère

·      être consulté enregistrement par enregistrement gràce à une grille (qui correspond à un masque de saisie)

·      faire l’objet d’une extraction d’enregistrements répondant à un critère, l’extraction peut être conservée dans un emplacement libre de la feuille de calcul

ETAPE 1 COMMENT CREER UNE LISTE

Þ  Ouvrez le classeur TABLE.XLS

Þ  Sélectionnez la table des produits (TABPROD)

Þ  Sélectionnez la zone A2:D22

Þ  Activez le menu Données Filtre et cochez l’option Filtre automatique

Þ  Vous devez obtenir ceci :

Pour créer une liste, il faut avoir au préalable créé une table

ETAPE 2 SELECTION D’ENREGISTREMENTS DIRECTEMENT DANS UNE LISTE

Exemple 1 :

On veut sélectionner l’enregistrement pour lequel DESIGNART = « Calculette Euro»

¨    Cliquez sur le bouton de sélection dans le champ DESIGNART

¨    recherchez puis cliquez dans la liste sur  la valeur souhaitée

¨    Vous devez obtenir la ligne suivante :

¨    « 9       Calculette Euro         19.60%           27.00»

¨    pour terminer sélectionnez l’option (tout) après avoir cliqué sur le bouto de sélection du champ ARTICLE

Exemple 2 :

On veut afficher la liste des articles dont le prix unitaire est compris entre 10 F et 50 F

Þ  Cliquez sur le bouton de sélection dans le champ PUHT

Þ  Sélectionnez (Personnalisé ...) qui permet d’écrire des critères plus complexes

Þ  Remplissez la boîte de dialogue qui apparaît avec les options ci-dessous

Remarque :

Le filtre automatique ne permet de combiner que deux critères par champ.


Vous obtenez alors ceci :

CODEART

DESIGNART

TVAART

PUHT

1

Transparents photocopieurs/10

19.60%

30.00

2

Transparents à main/10

19.60%

13.50

3

Stylo à transparents effaçables

19.60%

7.50

4

Stylo à transparents permanents

19.60%

7.50

5

Boîtes de disquettes 3,5''/10

19.60%

35.00

6

Boîte de CD-R 74 mn/10

19.60%

99.00

7

Boîte de CD-RW /10

19.60%

152.00

8

Calulatrice scientifique Cazio

19.60%

225.00

9

Calculette Euro

19.60%

27.00

10

Ramette papier multi usages

19.60%

45.00

Pour terminer, sélectionnez l’option « (Tout) du champ Prix unitaire

ETAPE 3 : Utiliser la grille pour saisir de nouveaux enregistrements, rechercher un enregistrement avec des critères de recherche

Þ  sélectionnez de nouveau la « Liste »  (zone A2:D22)

Þ  Dans le menu Données Sélectionnez l’option grille remarque la 1ère ligne contient les noms de champs

Ce bouton permet de saisir une « nouvelle » fiche (nouvel enregistrement)

Vous obtenez ceci :

Ce bouton permet de basculer en mode critère (ou en mode grille)

Ces boutons permettent de se déplacer d’une fiche à l’autre

Ce bouton permet d’annuler une suppresion ou une modification

Ce bouton permet de supprimer  une fiche (un  enregistrement)


Þ  faites défiler les enregistrements un à un

Þ  saisissez la fiche du nouvel article suivant :

« 20 Le guide pratique de l’informatique 105,20 F 5,50% »

Þ  on voudrait consulter les fiches produits dont le prix unitaire est supérieur ou égal à 100 F et dont le taux de TVA est de 19,60%

Après avoir entré le critère, cliquez sur suivant pour faire défiler les fiches correspondantes.

ETAPE 4 Extraction d’enregistrements

Lorsqu’on veut utiliser des critères plus complexes, l’utilisation de la grille ou de la sélection automatique n’est plus possible. Il faut utiliser la commande « filtre élaboré ».

EXEMPLE :

: on veut la liste des produits dont le prix unitaire est compris entre 100 et 200 F ou dont le taux de TVA est de 5,50%.  il y a 3 critères : (Prix unitaire>100 Et prix unitaire < 200) OU TVA=5.50%

PROCEDURE :

Þ  dans la feuille TABPROD, il faut choisir un emplacement libre qui servira de zone de critères :

Zone d’extraction de la requête.


La zone de critères comporte :

Þ  En première ligne le ou les noms des champs pour lesquels on veut formuler un critère

Þ  Sur les lignes suivantes, on indique les critères proprement dits.

   * Lorsque les conditions s’ajoutent (a ET b ET...) on les met sur la même ligne

   * Lorsque les conditions s’xcluent (a OU b OU ...) on les met sur des lignes différentes

     Dans l’exemple, les critères définis dans la zone E4:G6 signifient :

     (Prix unitaire >100 ET Prix unitaire<200) OU TVA=5.50%

Remarque : les parenthèses sont facultatives car le ET logique est prioritaire par rapport au OU

A VOS CLAVIERS :

Þ  Tapez les données de la zone E4 à G6. Respectez scrupuleusement les noms de champs (qui correspondent au nom de champs de la liste) Pour éviter tout risque d’erreur d’orthographe, copiez le nom du champ Prix unitaire (cellule D2) et Collez le dans la cellule E4 et F4. Procédez de même pour le champ TVA.

Þ  Activez le menu Filtre et Filtre élaboré, la boîte de dialogue suivante apparaît :


Zone contenant la liste (ou base de données)

Zone contenant les critères

Zone de destination (les données extraites seront collés à cet emplacement si l’option « copier vers un autre emplacement » a été cochée.

Pour remplir chacune de ces zones, cliquez sur le peti bouton puis sélectionnez la plage de cellules concernée de la feuille de calcul, les références dans la boîte de dialogue seront automatiquement inscrites.

REMARQUES :

la zone de destination ne comporte qu’une seule ligne. EXCEL  recopie les noms des champs sur cette ligne et place les données filtrées en dessous. Pour ne retenir que le code et la désignation des produits répondant aux critères, il aurait fallu sélectionner la zone E13:F13.

On peut évidemment utiliser des noms à la place des références.

ETAPE 5 : Effectuer des sous-totaux dans une liste 

L’objectif est le suivant : on veut effectuer un comptage du nombre de produits correspondant à chaque taux de TVA :

PROCEDURE :

Þ  Sélectionnez la liste (des produits) et lancer un tri croissant par ordre de taux de TVA (colonne C) Menu : Données Trier

Þ  les 5 premières lignes doivent concerner les produits soumis à 5,50%

Þ  après avoir sélectionné la liste, sélectionnez le menu données-Sous-total

Þ  Activez les options suivantes de la boîte de dialogue :

Þ 

Champ de rupture ou champ de regroupement, le sous total s’appliquera à chaque changement de taux de TVA

Champ en dessous duquel doit figurer le sous-total

Permet de supprimer tous les sous-totaux existant dans la liste

Fonction de calcul utilisable



Après validation sur OK vous obtenez l’écran suivant :

Après avoir défini les sous-totaux, EXCEL bascule en mode plan. le mode plan permet de synthétiser les données.

Dans l’exemple, le plan comporte trois niveaux (voir les trois boutons en haut à gauche de l’écran.

Þ  Le niveau 3 donne le détail des enregistrements

Þ  Le niveau 2 ne donne que le nombre d’enregistrements par taux de TVA ,

Þ  Le niveau 1 donne le nombre total de produits pour les deux taux de TVA.

Pour accéder à un niveau donné, cliquez sur le bouton gris approprié (1 – 2 ou 3). Les boutons indiquent que les données sont du niveau de détail. Un clic sur ce bouton permet de basculer vers un niveau de regroupement

APPLICATION PRATIQUE

Vous allez maintenant manipuler la table des clients  (imprimez les résultats obtenus après chaque question)

1) en utilisant la grille de saisie, créez le nouveau client suivant :

CODECLI

NOMCLI

ADRCLI

CPCLI

VILLECLI

CODEREG

ENCOURSCLI

PLAFONDCLI

18

Impress 2000

50, rue de Férin

59500

DOUAI

3

5000

20000

2) En utilisant la grille, faites défiler la liste des clients habitant à Douai (dont le champ VILLE commence par 75 ou encore 75*)

3) On veut obtenir la liste des clients habitant à SIN LE NOBLE (utilisez le filtre automatique)

4) On veut extraire la liste des clients dont l’encours de crédit dépasse 150000 ou qui sont en dépassement de crédit (c’est à dire ayant un encours de crédit supérieur au plafond autorisé)

10 avril 2007

BD d'après excel

d'après une collègue

OBJECTIFS

- Saisir des données avec la grille standard

- Trier une liste

- Utiliser la fonction SOMMEPROD                                                               

- Utiliser la fonction RANG

- Utiliser les fonctions Bases de données

CAS NELONI

M. NELONI, professeur de musique souhaite calculer ses moyennes semestrielles sur tableur. Il vous charge de la mise en place du tableau, et vous décidez d’utiliser le mode grille de saisie pour enregistrer les noms des élèves ainsi que les notes des deux premiers DS.

Les objectifs du cas reposent sur :

- l’utilisation de la grille de saisie

- la révision sur les fonctions SOMMEPROD, SOMME.SI et RANG

- l’utilisation des fonctions de bases de données BDSOMME, BDNB qui permettent d’effectuer des calculs conditionnels mettant en œuvre plusieurs critères

Vous disposez des documents suivants :

·      Annexe 1 : Tableau des notes du 1er semestre à saisir

·      Annexe 2 : Table des coefficients du 1er semestre

ACTIVITE 1 : Préparation des tableaux

1) Table des coefficients :

a) saisissez la table des coefficients conformément à l’annexe 2

b) Définissez le nom de la zone B3:F3  : COEFF1 (on se limitera à 5 devoirs par semestre)

c) Réalisez l’encadrement si vous le souhaitez

d) Renommez la feuille COEFFICIENT

2) Feuille de notes du 1er semestre

Cette feuille va se mettre à jour automatiquement grâce à la grille de saisie (comme vous pourrez le constater) -

AUSSI NE SAISISSEZ PAS TOUS LES ENREGISTREMENTS MAINTENANT - CE SERAIT STUPIDE ET LE CAS N’AURAIT AUCUN INTERET - DONC SUIVEZ SCRUPULEUSEMENT LES INSTRUCTIONS QUI SUIVENT

a) Saisissez les noms de champ de la 1ère ligne

b) Modifiez les largeurs de colonnes (colonne A : 16, Colonne B : Standard, colonne C à G : 6,71 environ)

c) Créez un encadrement pour les cellules des lignes 1 et 2 Et mettez les cellules A1 à H1 en couleur gris clair (menu format - Cellules - motifs)

Vous devez obtenir ceci :

d) Implantation de la formule de la moyenne en cellule H2

le principe de calcul serait le suivant :

(Note DS1 X COEF DS1 + NOTE DS2 X COEFF DS 2 +......+ NOTE DS5 XCOEF DS 5)

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Somme des coefficients

La fonction SOMMEPROD, simplifie grandement le problème. De plus, en conjonction avec la fonction SOMME.SI, il est possible de prendre  en compte les absences aux devoirs (lorsqu’un élève est absent à un devoir, la cellule contenant sa note est vide).


FORMULE EN H2 : =

e) Renommez la feuille en SEMESTRE1

ACTIVITE 2 Saisie des données avec la grille

1) Mettez en surbrillance la zone A1:H2

2) Activez le menu Données... Grille

3) saisissez les enregistrements du tableau de l’annexe 1

Le premier enregistrement donne ceci

      

Remarque : pour se déplacer dans les champs utiliser la souris ou la touche Tab

ACTIVITE 3 : Tri par ordre alphabétique

On souhaiterait que le tableau des notes soit trié par ordre alphabétique des noms et prénoms

1) Mettre en surbrillance le tableau avec les noms des champs (en principe A1:H16)

2) Activez la commande Données...- Trier

     Dans le champ 1ère clé, sélectionnez le champ Nom

     Dans le champ 2ème clé, sélectionnez le champ Prénom

Indique que la première ligne contient les titres des colonnes (champs) et n’est donc pas à trier

EXCEL va trier le tableau par ordre de noms et par prénom si deux personnes ont le même nom.

TRES IMPORTANT : POUR TRIER, IL FAUT TOUJOURS SELECTIONNER LA TOTALITE DU TABLEAU FAUTE DE QUOI LES NOTES POURRAIENT NE PLUS CORRESPONDRE AUX ELEVES.


ACTIVITE 3 Classer les élèves

M. NELONI souhaiterait classer  chaque élève en fonction de sa moyenne.

Une première solution consisterait à attribuer un rang « manuellement »   à chaque élève  (environ 10 mn)

La deuxième solution consiste à utiliser la fonction suivante :

=RANG(Nombre;référence;ordre)

Cette fonction donne le rang d’un nombre par rapport à la liste de nombre défini en référence. Ordre est facultatif.

APPLICATION :

1) En cellule I1, saisissez « CLASSEMENT »

2) En cellule I2, implantez la formule suivante avec ou sans l’assistant fonction :

            

=RANG (

 

3) recopiez la formule précédente jusqu’en I16

ACTIVITE 4  :  Statistiques

M. NELONI est déjà pleinement satisfait de votre travail, mais il voudrait davantage d’infomations pour lui préparer son conseil de classe,  il voudrait avoir :

la moyenne de chaque DS

La moyenne de la classe

La note minimale et maximale de chaque DS et des moyennes 

Ces éléments sont à implanter à partir de la ligne 17

Que se passe-t-il pour le calcul des moyennes des DS 3, 4 et 5 ? Pour éliminer le problème, n’hésitez pas à utiliser la fonction SI combinée avec une fonction d’information

ACTIVITE 5 Utilisation de la fonction BDNB

Vraiment ébahi par vos capacités et par la puissance d’EXCEL, M. NELONI vous demande d’établir les statistiques suivantes :

·      Nombre d’élèves dont la moyenne est < 8 (en nombre et en pourcentage)

·      Nombre d’élèves dont la moyenne est supérieur ou égale à  8 et inférieure strictement à 12

·      Nombre d’élèves dont la moyenne est supérieure ou égale à 12

Il faut ici recourir à une fonction base de données d’EXCEL :

= BDNB (Table;Champ;zone de critères)

Cette fonction permet de compter le nombre d’enregistrements dont la valeur du champ répond aux critères définis.

·      la zone table correspond dans l’exemple à la zone A1:H16

·      la zone Champ correspond à « Moyenne »

·      la zone de critère est à définir dans la feuille, dans une zone vide :

Pour définir un critère, on définit le nom du champ (dans l’exemple : Moyenne) et sur la ligne du dessous on entre le critère proprement dit

Il y a 3 critères à définir :

Pour faciliter l’écriture des formules, définissez les noms suivants :

·      K2:K3 : CRITERE1

·      K6:L7 : CRITERE2

·      K10:K11 : CRITERE3

Ce critère signifie :

Moyenne >=8 ET Moyenne<12

Implantation des formules de calcul dans la feuille de notes : ajouter le tableau suivant

ATTENTION : Les cellules C22 à D25 sont calculées

Les formules à implanter en cellules C22 à C24 sont :

C22 : =BDNB (

C23 : =BDNB (

C24 : =BDNB (

Implantez les autres formules.

Au final, vous devez obtenir le tableau de l’annexe 3

A retenir :

Les fonctions bases de données permettent de faire des calculs sur des cellules répondant à un ou plusieurs critères. La syntaxe de ces fonctions est :

=BD (Table ;champ,zone de critère)

Les fonctions bases de données d’Excel comprennent :

BDNB :

BDNBVAL : comptage conditionnel de valeurs numériques ou alphanumériques

BDSOMME : pour une addition avec critères

BDMIN

BDMAX

BDMOYENNE


ANNEXE 1 Tableau des notes du 1er semestre

ANNEXE 2 Table des coefficients

ANNEXE 3 TABLEAU FINAL

10 avril 2007

quelques notions excel en cgo

quelques notions excel en CGO

Les fonctions mathématiques, statistiques et financières

Partie 1 : Utilisation de l’outil Valeur Cible

EXEMPLE

Une entreprise fabrique et commercialise un produit : le PEON

On vous communique les renseignements suivants :

Marge sur coût variable unitaire : 1 200 € (Proportionnelle aux quantités vendues

Charges fixes : 12000 €/an

Exprimez l’équation du résultat en fonction de x, les quantités vendues

Y=1200x-12000

L’outil valeur cible va permettre de déterminer la valeur de la variable x en fonction du résultat y désiré.

Dans Excel on va réaliser le tableau suivant :

La formule en D6 est : =D4*D2-D3

Remarque : en nommant la cellule D4 en x, la formule aurait été =D2x-D3

x a été initialisé à 0

Question : Quelles doivent être les quantités vendues pour que le résultat soit nul (en d’autres termes, à partir de quelle quantité vendue, l’entreprise devient elle rentable ?)

Cela revient à résoudre l’équation suivante :

0=125x-120000

Pour résoudre l’équation avec Excel, cliquez sur le menu Outils puis valeurs cibles

Cellules contenant l’équation de résultat. La cellule à définir doit obligatoirement contenir une formule

Objectif à atteindre (variable y)

Cellule variable (x) dont on veut connaître la valeur (inconnue)

Excel a déterminé que la quantité de 960 produits vendus permettait d’obtenir un bénéfice nul. Donc au delà, l’activité de l’entreprise devient rentable

Application

En utilisant l’outils Valeurs cibles, déterminez les résultats de l’équation suivante :

12016=12,5x2+0,5x-800

Avec valeurs cibles on trouve UNE solution : 32

Partie 2 : Utilisation du Solveur

Le solveur est utilisé en programmation linéaire pour résoudre des problèmes de maximisation de profit sous contraintes (détermination d’un programme de production), pour des minimisations de coûts et pour résoudre des systèmes d’équations à plusieurs inconnues.

Le solveur repose sur une approche par essais successifs appelés des itérations, jusqu’à obtenir la solution optimale.

Application 1 : Maximisation sous contraintes

La société TINE fabrique et commercialise 3 produits P1, P2 et P3. Elle souhaite déterminer la quantité de produits P1, P2 et P3 qui maximise sa marge sur coût de revient, compte tenu des contraintes de production.

Les capacités maximales de traitement (contraintes techniques) sont les suivantes :

-         Quantité de matières premières : 32 000 kg

-         Main d’œuvre directe : 1 100 Heures

-         Capacité de l’atelier : 700 heures machines

Les consommations unitaires de chaque produit sont les suivantes

- 1 produit P1 nécessite 26 kg de matières, 1,3 h de MOD et 0,7 h machines

- 1 produit P2 nécessite 23 kg de matières, 0,9 h de MOD et 0,6 h machines

- 1 produit P3 nécessite 18 kg de matières, 1,1 h de MOD et 0,5 h machines

La marge générée par la vente de chaque produit est la suivante :

-         P1 = 24 €

-         P2 = 17 €

-         P3 = 15 €


Formulation mathématique du problème :

x -> quantité de P1

y -> quantité de P2

z -> quantité de P3

Fonction économique   : 24x+17y+15z=Zmax

Contraintes techniques : 26x+ 23y+ 18z £ 32.000       (Capacité de traitement de la matière)

                                       1,3x+0,9y+1,1z £ 1.100     (Capacité maxi en MOD)

                                       0,7x+0,6y+0,5z £    700      (Capacité maxi de l’atelier)

Les quantités de produits sont obligatoirement positives ou nulles

                                               x ³ 0

Contraintes évidentes               y ³ 0

                                               z ³ 0

ATTENTION

Il serait réducteur de vouloir à tout prix résoudre le système d’inéquations aux 3 contraintes techniques car l’objectif est de maximiser le profit (représenté par la fonction économique). Une telle démarche aboutirait à une solution mathématiquement acceptable mais incorrecte économiquement.

Pour résoudre « à la main » le problème posé, les gestionnaires utilisent une méthode appelée le SIMPLEX qui repose sur la méthode du pivot.

Résolution dans EXCEL

Réalisez le tableau suivant :

Les 3 variables de base sont ici (x, y et z)

Texte purement descriptif, ne sert qu’à se repérer dans la feuille de calcul

Contient les formules de chaque équation


-         Nommez les cellules B3 à B5 (menu Insertion – Nom – Définir) B3 est nommé x, B4 est nommé y et B5 est nommé z. Leur valeur est initialisé à 0

-         Formules de calcul :

o       En D7 =24*x+17*y+15*z

o       En D9 =26*x+23*y+18*z

o       En D10 =1.3*x+0.9*y+1.1*z

o       En D11 =0.7*x+0.6*y+0.5*z

-         les cellules E9 à E11 sont fixes

Utilisation du solveur :

Menu Outils – Solveur

Si le solveur n’apparaît pas dans le menu Outils c’est qu’il n’est pas installé. Pour l’installer, il faut activer le menu Outils – Macros complémentaires – cocher la case Solveur et valider :

1) Il faut indiquer ici la cellule contenant la formule de la fonction économique (soit dans l’exemple la cellule D7)

L’assistant solveur se présente ainsi :

On définit ici l’objectif envisagé, soit une maximisation

3) Il faut définir les cellules contenant les formules liées aux contraintes

2) Il faut définir les variables (x, y et z). Excel recherche automatiquement les variables dans la cellule cible

Ce que l’on doit obtenir après paramétrage est résumé ci-après :

Les références aux cellules ont été sélectionnées à la souris. (voir ci-dessous) à la place des cellules E10, E11 et E9, on aurait pu saisir les valeurs 1100, 700 et 32000. Mais pour faire de nouvelles simulations avec d’autres contraintes, il suffira simplement de modifier la feuille de calcul. Pour ajouter, modifier ou supprimer une contrainte, il suffit de la sélectionner puis de cliquer sur le bouton adéquat

Exemple d’ajout d’une contrainte :

Après avoir cliqué sur Ajouter, on obtient ceci :

Cliquez ici pour sélectionner la cellule

Après sélection et validation de la cellule, on clique ici, on sélectionne la cellule contenant la contrainte et on valide

Pour la première contrainte, la boîte de dialogue affiche ceci :

Afficher les options :

Cliquez sur le bouton

Vous obtenez ceci :

??????????????????

Cochez cette case pour voir les résultats intermédiaires au cours des itérations successives. Pas de panique, Excel n’ira pas (dans l’exemple jusqu’à 100 itérations)

Pour des équations longues, on peut allonger le temps de réponse, le nombre d’itérations, la précision,…

Validez en cliquant sur le bouton OK

Prêt à déterminer la solution au problème ?

Alors cliquez sur le bouton

Ça ne fait que commencer !

Cliquez sur continuer, jusqu’à ce que la solution optimale soit atteinte

A la fin, la boîte de dialogue suivante s’affiche :

On peut sélectionner les rapports pour les afficher (ils sont difficiles à analyser). Il ne reste plus qu’à valider puis à observer le résultat :

L’optimum est atteint avec une production de 200 P1 et 933 P2 (P3 est à abandonner), ce qui donne une marge maximale de 20667 €.

Le plein emploi est atteint pour la main d’œuvre et les heures machines, en revanche la capacité maximale de matières premières utilisées n’est pas atteinte (sous-emploi). Si l’entreprise pouvait éventuellement desserrer les contraintes de main d’œuvre et d’heures machine (c’est à dire augmenter la capacité), elle pourrait peut être atteindre le plein emploi au niveau de la matière première.

Application

Grâce à une meilleure organisation technique et à un recrutement de personnel intérimaire, l’entreprise a augmenté de 20% le nombre d’heures de MOD (soit 1320 h au lieu de 1100) et d’heures machine (soit 840 au lieu de 700).

Cette action a t’elle une conséquence sur :

-         le volume de production

-         la marge

-         la capacité utilisée ?

Modifiez en conséquence la feuille de calcul, exécutez de nouveau le solveur et commentez

Remarque : on peut garder une trace des différentes simulations en « enregistrant le scénario »

APPLICATION 2 : Minimisation d’un coût (sous contraintes)

Application facultative, vous pouvez passer à l’application 3 pour voir comment utiliser le solveur dans  la résolution de systèmes d’équations.

L’entreprise ROBIDON doit faire face à une importante commande. Elle doit livrer 83 500 conteneurs et 175 000 bidons.

En une heure, l’atelier moulage produit 1 200 bidons et 1 400 conteneurs. L’atelier Assemblage traite quant à lui en 1 heure 130 bidons et 1 200 conteneurs

Les coûts horaires s’élèvent à 320 € pour l’atelier moulage et à 110 € pour l’atelier assemblage.

L’entreprise souhaite déterminer la durée totale optimale de chaque atelier pour minimiser le coût de la commande.

Formulation mathématique

x-> temps de travail de l’atelier moulage

y-> temps de travail de l’atelier assemblage

Fonction économique : 320x + 110y = Zmin

Contraintes (bidons)                 1200x + 130y ³   83500

                        (Conteneurs)    1400x+1200y ³ 175000

                                               x ³ 0

                                               y ³ 0

On doit donc ici minimiser le coût, sachant que l’entreprise est astreinte à produire AU MOINS 83500 bidons et 175000 conteneurs (d’où le sens des inégalités).

Résolution dans EXCEL :

Cellule nommée  y

=1400*x+1200*y

=1200*x+130*y

=320*x+110*y


Cellule nommée x

Dans un nouveau classeur, préparez le tableau suivant :

Exécutez le solveur, paramétrez le correctement et résolvez ce problème en indiquant :

-         le nombre d’heures optimale d’heures de l’atelier moulage et assemblage

-         Le coût total

ATTENTION au sens des inégalités.

Pour vous aider, la boîte de dialogue du solveur contient les paramètres suivants :

APPLICATION 3 : Utilisation du solveur pour résoudre un système                               d’équations

Résoudre le système d’équations suivantes :

10x+5y+2z      = 3369

0,5x+3y+1,2z  = 1871.4

11x+7y+3z      = 4341

Réalisation dans Excel :


Les cellules ont été nommées x, y et z

Les formules suivantes ont été définies :

=10*x+5*y+2*z

=5*x+3*y+1.2*z

=11*x+7*y+3*z

La boîte de dialogue du solveur est à paramétrer comme suit :

La valeur cible est ici une équation quelconque (dans l’exemple, il s’agit de la première

On indique la valeur du membre de droite de la 1ère équation

Il faut indiquer ici que l’on cherche à atteindre une valeur exacte

Vous devez trouver la solution suivante :

X = 150

Y = 225

Z = 372

Pour conclure sur le solveur, il est également possible de résoudre des systèmes d’équation du nième degré à n inconnues.


Partie 3 : Régression linéaire sur Excel

Données du problème :

L’entreprise latendance.com a réalisé un relevé de son chiffre d’affaires pour les 12 premiers mois de l’année. Ce relevé figure ci-après :

Mois

CA

1

27000

2

32000

3

28000

4

34000

5

33500

6

37600

7

39300

8

40000

9

43000

10

43000

11

45500

12

49000

Activité :

1)      Saisissez ces éléments dans une feuille d’un nouveau classeur

2)   A l’aide des fonctions d’Excel, déterminez :

a.       Le coefficient de corrélation entre l’évolution des chiffres d’affaires et des mois.

b.      Le coefficient de pente de la droite d’ajustement linéaire découlant de ces données (si l’ajustement est justifié).

c.       La constante «b»de la droite d’ajustement linéaire

3)      Dans le tableau des données, vous ajouterez une troisième colonne pour déterminer les chiffres d’affaires ajustés.

4)      Représentez graphiquement la série des chiffres d’affaires réels et des chiffres d’affaires ajustés.

Conseils : pour les formules, aidez vous de l’assistant fonction – fonctions statistiques

Eléments de corrigé :

Le graphique correspondant :


Parties 4 : Les fonctions financières d’Excel

Les fonctions données ci-dessous concerne les emprunts indivis remboursés par annuités

constantes de fin de période. Certaines fonctions retournant des valeurs négatives, il faut les

faire précéder d'un signe – (Excel considère les remboursements comme des flux négatifs à soustraire du capital

Dans les formules ci-dessous nous retiendrons les notations suivantes

Notation

Co    la valeur actuelle d'une suite d'annuités (ou encore le montant de l'emprunt)

n       le nombre de versements périodiques (ou d'annuités)

Cn    la valeur acquise par une suite d'annuités

a       le montant de l'annuité (ou de la mensualité...)

i         le taux d'intérêt pour 1 € et pour la période de temps considéré

Il est possible d'utiliser les formules habituelles sachant que la fonction élévation à la puissance

correspond à l'accent circonflexe ^ (<Alt Gr> 9)

Objectif de la formule

Formule

Exemple

Calcul du kième amortissement

=PRINCPER(i;k;n;Co)

=-PRINCPER(0.7%;5;24;420000)

16 588.64 F

calcul de l'annuité

=VPM(i;n;Co)

=-VPM(0.7%;24;420000)

19 072.18 F

Valeur actuelle

=VA(i;n;a)

=-VA(0.7%;24;19072.18)

420 000.08 F

Valeur acquise

=VC(i;n;a)

=-VC(0.7%;24;19072.18)

496 542.78 F

Recherche du taux

=TAUX(n;- a;Co)

=TAUX(24;-19072.18;420000)

0.700%

PRINCIPES DE CALCUL

Les formules ci-dessus sont celles utilisées couramment en mathématiques financières. Elles résultent des propriétés des progressions géométriques. Des explications complémentaires sont données dans les pages suivantes.


Actualisation des annuités

Compte tenu des annuités versés périodiquement, à quoi correspond le capital à l’époque 0

1

2

3

n

a

a

a

a

a

0

C0

Cn

Périodes

C0=a(1+i)-1+a(1+i)-2+a(1+i)-3+ … + a(1+i)-n

D’où

Capitalisation des annuités

Le problème est cette fois ci de déterminer à l’échéance la valeur acquise par les versements

1

2

3

n

a

a

a

a

a

0

C0

Cn

Cn=a(1+i)n-1+a(1+i)n-2+a(1+i)n-3 … + a(1+i)-3+a(1+i)-2+a(1+i)-1+a

D’où

Problème du taux : Le taux doit être adapté à la périodicité des paiements. En mathématiques financières, on utilise le taux équivalent, en revanche, les banquiers utilisent un taux proportionnel (plus avantageux pour eux).

Exemples : pour un taux annuel de 12%

Périodicité de versement

Taux équivalent

Taux proportionnel

Mois

1,12(1/12) - 1 =

0.00948879

soit

0.95%

0,12/12=

0.01

soit

1.00%

par mois

par mois

Trimestre

1,12(1/4) - 1 =

0.02873734

soit

2.87%

0,12/4=

0.03

soit

3.00%

par trimestre

par trimestre

Semestre

1,12(1/2) - 1 =

0.05830052

soit

5.83%

0,12/2=

0.06

soit

6.00%

par semestre

par semestre

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